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lundi 18 mars 2024

Après les révélations sur Jean-Michel Trogneux, je viens de réaliser un truc énorme (18/03/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/clXCGOuJ4_w

Bonjour ! 
La légende raconte qu’il y aurait, quelque part, dans les tréfonds du gouvernement, une mythique créature encore hétérosexuelle dont la quéquête serait aussi dure que celle du Saint-Graal. Une épopée qui n’a point tenté Sarah El Haïry, ministre déléguée à quelque chose (ayant trait à la famille) et heureuse maman d’un bébé éprouvette sans OGM ou autre masculinité toxique. Nonobstant, il semblerait que, paradoxalement, traiter les moules comme des esquimaux n’améliore pas la maîtrise de la langue, puisque dans une apostrophe (loin de Bernard Pivot) à Sandrine Rousseau, elle a réussi à jeter par 2 fois « l’eau propre » sur l’écologiste, gaspillage qui frise la provocation, en concluant sa diatribe par l’espoir plein d’optimisme que les mots de Sandrine, « n’avaient pas dépassé ses propos » ce qui eût certes été grave, mais moins que la tentative de « La Chaîne Parlementaire » de corriger discrètement la retranscription sur X de ce morceau d’anthologie, provoquant le raz de marée de commentaires ironiques (ta mère) que l’on imagine. 
Avec ce concept révolutionnaire du diplômé analphabète, la France innove, assurément, mais le mieux est l’ennemi du bien et, compte tenu de l’extrême concentration du phénomène au sein d’un même gouvernement, la seule explication qui me vient à l’esprit est la présence, dans les sous-sols de l’Élysée, d’un élevage clandestin d’individus génétiquement modifiés pour dépasser les limites, depuis longtemps atteintes, de la connerie humaine. Comment, sinon, expliquer Bruno Le Maire lequel, après 7 ans passés au ministère de l’Économie à taxer tout ce qui était taxable, des cabanes de jardins aux poulaillers, découvre que les anus ne se dilatent pas à l’infini et, avec, la fameuse courbe de Laffer (dont visiblement il n’a pas vraiment le sens) selon laquelle il est un point au-delà duquel trop d’impôts et de taxes contractent suffisamment l’économie et les dépenses des ménages pour diminuer l’assiette (au propre comme au figuré) et donc, finalement, les recettes (devenues WeightWatchers), faisant qu’à partir de là, plus on taxe, moins ça rapporte (en tout cas, si on taxe les mêmes). Faisant grincer « les dents de l’amer » contribuable, et mal conseillé par quelque requin de la finance (« l’aidant de Lemaire », en l’occurrence), il lui faut désormais trouver non plus 10, puis 20 comme annoncé, ni même 50, mais selon certaines sources à Bercy, 174 milliards et 18 centimes pour éviter la mise sous tutelle par le FMI. 
Outre les 11% d’augmentation budgétaire de l’Élysée (perruques de « première Dame » incluses), les 6% pour l’Assemblée nationale, les 2% pour le Sénat et les 34% pour le Conseil constitutionnel, sans omettre profond les, respectivement, 300€ et 700€ mensuels pour les faux frais des vrais députés et sénateurs, il faut également être en mesure de continuer à alimenter le hachoir à blancs en Ukraine afin de satisfaire les fantasmes guerriers et remplacistes de notre grand timonier ; d’autant qu’il semblerait que, contre toute attente, les bombes fabriquées avec des pièces de machine à laver par des incapables, alcooliques et à genoux, dirigés par un polycancéreux, tapent dans le « Miele » et soient en train « d’essorer » les défenses de l’éminent pratiquant de piano à queue sans les mains. 
Lors d’une intervention lunaire, après avoir expliqué qu’il faudrait peut-être envoyer nos troupes parce qu’Anne-Sophie Lapix ne pouvait pas exclure de lever son plantureux postérieur de sa chaise à la fin de l’interview, notre bon gars de la narine a quand même dévoilé le « poteau rose » (comme dirait Sarah El Haïri) et la raison de son acharnement : « si Poutine gagne, la crédibilité de l’Union européenne serait réduite à néant ». En gros, on va donc se ruiner à faire la guerre pour que le concept de « l’Europe c’est la paix et la prospérité » soit encore crédible. Et pour financer tout ça, une fois à court d’usines à gaz potentiellement antisémites et faute de pouvoir taxer jusqu’à l’infini et au-delà, pourquoi, se dit le brave Bruno, ne pas simplement piocher dans toute cette épargne bolchévique qui dort honteusement, en commençant par le livret « A », comme Andouille ? D’autant qu’en cas de guerre (d’où ce vocabulaire de plus en plus martial) l’état a tous les droits y compris (et il ne s’en est pas privé par le passé) celui de faire ouvrir les coffres des particuliers pour « réquisitionner » notamment les métaux précieux qui s’y trouvent. Ce n’est donc pas parce que le chien famélique agonise que les puces ne vont pas essayer de le sucer jusqu’à la dernière goutte, façon ministre de la Culture. 
Il est vrai que la mort est très tendance en ce moment, qu’il s’agisse de nos militaires, de celle, programmée, de nos agriculteurs, bientôt suivis par les petites entreprises du bâtiment qui font face à une crise cataclysmique, ou encore de la sanctification de l’avortement et des panthéonisations quasi hebdomadaires, le tout couronné par le projet de loi sur le droit à mourir, probablement au Rivotril comme testé, en masse, dans les maisons de retraite durant le Covid. Un privilège toutefois réservé aux heureux survivants de l’insécurité, laquelle galope façon cheval de feu le trou de la couche d’ozone, et prend de telles proportions qu’à Rennes, pour rester dans l’équitation, une fusillade urbaine, avec des balles capables de percer des murs d’immeubles (et probablement importées d’Ukraine avec rabais exceptionnel de 30% en tapant le code « AVECVOSIMPOTS ») a duré rien moins que 67 minutes, sans que la Police pour les uns, mais rêche pour les autres, dont l’armement suffit tout juste à taper sur du gilet jaune catégorie 2, ne se risque à intervenir. 
Mais rassurez-vous, sur la voie de la félicité, il nous reste les valeurs de la république, qui se font surtout sentir en passant les dos d’âne. Il fut un temps, quand elle avait pour but de tuer le catholicisme, où la laïcité, pour n’en citer qu’une, était la liberté de ne pas croire, avant, la nature ayant horreur du vide, de se muer en obligation de croire aux religions de remplacement du moment. Religions auxquelles, sur les conseils de mon avocat, j’adhère sans la moindre réserve, à commencer par les chambres emplies d’une substance à l’indice carbone restant à mesurer, mais aux effets assez horribles pour vous traumatiser une première dame jusqu’à ne plus oser flatuler que dans sa baignoire dans l’espoir que les pets d’eau filent. Idem pour l’enrichissement culturel qui, certes, tarde un peu à se matérialiser sur mon compte en banque, mais je garde espoir. Je conspue également le méchant Trump à cheveux orange et je brûle un cierge à sainte Ursula pour les vaccins miracles qui ont sauvé la planète en dépit des efforts de nazis cannibales non-vaccinés lesquels, si on ne les avait pas emmerdés, auraient pu contaminer les vaccinés quintuple dose avec le virus contre lequel ils étaient vaccinés. 
Il va sans dire que je voue également aux gémonies les odieuses vaches qui pètent, le méchant Poutine et ses vues territoriales sur Biscarosse et même les infâmes bébés terroristes du Hamas qui méritent amplement ce qui leur arrive. Il m’arrive toutefois de me réveiller la nuit en me disant que face aux atrocités, certes humaines et proportionnées, commises à Gaza, mêmes ceux, pas encore remplacés par de nouveaux arrivants plus réfractaires, qui adhèrent toujours au projet avec toute la ferveur légale qui s’impose, pourraient finir par se dire « ouais, finalement, kippa-blanche, blanche-kippa » et, une fois rendus là, même l’avalanche de textes liberticides suggérée par le représentant du CRIF en préambule du solennel 80e anniversaire de cette association caritative d’utilité publique qui fera l’objet d’une cérémonie exceptionnelle à l’Élysée, n’y pourrait plus rien changer. 
À l’exception de ces menues restrictions, les « droits » à peine « tordus » de l’homme sont toujours là, prêts à ce que l’on meure pour eux, chacun étant libre de croire ce qu’il veut sur le reste. À titre personnel, par exemple, jusqu’à preuve convaincante du contraire, j’ai la vague intuition que l’homme n’a jamais posé un pied sur la lune, mais qu’en revanche, il fut un temps où la très photophobe prétrentenaire Brigitte pouvait poser ses burnes sur la commode, comme l’a affirmé la très suivie Candace Owens dans des vidéos virales bien argumentées et vues des millions de fois, en attendant que Tucker Carlson, un jour ou l’autre, porte l’estocade finale. Outre tout ce que cela signifierait, si avéré, en termes de potentiel de manipulations et de chantage, cela implique également, comme pour la fille cachée de Mitterand, un contrôle strict de la presse de sorte que, même si le petit monde germanopratin se gausse et s’envoie des petits clins d’œil d’initiés à la télé depuis des années, tant que ce n’est pas au journal de 13 h, ça n’existe pas pour le bas peuple. 
Cela suppose, également, un lourd investissement financier largement rentabilisé si l’on considère toutes les trahisons de celui qui est en train d’achever ce qui reste de la France, au point que cela commence à se voir et que la pauvre Aya Nakamura paye le ras-le-bol général lié au fait qu’il semble devenu scandaleux, ne serait-ce que d’envisager, pour une fois, au nom de la diversité, sans aller, bien évidemment, jusqu’à l’abomination que serait un mâle blanc hétéro à prépuce, de faire représenter la France par quelqu’un de talentueux et qui parle la langue. On m’objectera qu’il y a d’autres moyens plus simples de contrôle, mais c’est négliger, le pouvoir et l’argent rendant immanquablement fou, que se cumulent, derrière, des considérations métaphysiques que certains qualifieront de sataniques, couplées à un mépris total du peuple et à une quasi-jouissance à pouvoir le duper en pleine lumière tout en pervertissant la totalité de ses valeurs. Un peu comme la pédophilie, c’est tellement inconcevable dans l’esprit de l’individu normal de base, encore sain, obligé de se focaliser sur son ticket de caisse, qu’il ne peut même pas envisager et a fortiori croire ce qui, parfois, s’étale devant ses yeux comme de la substance gluante sur le smartphone de Benjamin Griveaux. 
Tout cela ne saurait dater d’hier, c’était même peut-être plus facile avant, quand chaque smartphone, une fois nettoyé, n’était pas un espion en puissance et que les réseaux sociaux n’existaient pas pour répandre de soi-disant « fake news ». J’ai donc regardé, par curiosité et sans trop y croire, les différentes premières dames de notre cinquième république et, incroyable coïncidence, il s’avère qu’il y a eu un autre président français, venant lui aussi de chez Rothschild, marié à un échalas dégingandé, beaucoup plus grand que lui, à la mâchoire plutôt carrée et à la coiffure bizarroïde, que la presse, à une époque où les références étaient quand même Brigitte Bardot et Claudia Cardinale, s’obstinait, là aussi, avec insistance, à qualifier de belle femme. 
Après avoir vérifié sur vous-même que, contrairement aux femmes, les hommes ont l’annulaire plus long que l’index, je vous invite à parcourir les photos de l’individu, trouvables sur Google. Outre son prénom unisexe qui aurait pu faciliter un changement d’identité, l’enfant unique du couple était en fait adopté et, cerise sur le clafoutis, avaient couru, à l’époque, des rumeurs de partouzes suite à l’assassinat jamais élucidé d’un certain Stevan Markovic supposé les faire chanter avec des photos montages d’avant Photoshop, montrant cette personne en train de pomper dur contrairement à son mari qui Pompidou. Tant que ce n’est pas étayé par une enquête sérieuse, comme celle de « faits & documents » pour Brigitte, ce n’est, bien sûr, que du complotisme, mais étonnant, non ? comme dirait Desproges. 
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dimanche 10 mars 2024

C’est voté : VOS GOSSES POURRONT VOUS DÉNONCER, la cata des JO, les européennes etc. (11/03/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube:https://youtu.be/4yYUoGi6XWg

Bonjour ! 

Grâce au diptyque de l’affiche officielle des JO, on a désormais une vague idée de ce que pourrait (dé)générer un prompt chatGPT rédigé par l’iman Chalgoumi et corrigé par Stéphane Séjourné, même si d’autres y verront plutôt les conséquences d’un dépassement de posologie de dragées Fuca dans un bol de M&M's, question de sensibilité. Dans la réalité, si l’on en croit l’artiste italien (d’où peut-être la faute d’orthographe à « olympiades » écrit sans s), ce serait le fruit sans glyphosate de 2000 h de travail, soit, sur la base d’un SMIC, 23 300€ brut… plus l’encre et le papier. S’il a touché plus, c’est « les jeux où l’on pique » avec épreuve du 100 mètres plein les poches. 

D’aucuns apprécieront la tour Eiffel rose bonbon turgescent faisant subir les derniers outrages au stade de France empalé dessus (l’absence de la CAF et de surmulots suffisant pour comprendre qu’il s’agit d’une œuvre de fiction) tandis que les « strèmdroates », réfractaires à la poésie moderniste, regretteront probablement l’absence de croix sur le dôme des Invalides ou de traînées bleu blanc rouge derrière les avions de la patrouille de France au lieu, les sots, d’admirer la parité parfaite homme-femme au sein des 40 000 personnages dessinés, laquelle sautera immédiatement aux yeux de tout progressiste attentif. 

Mais bon, après une mascotte de m…ot de Cambronne en forme de clitoris, un hymne de mot de Cambronne sur une chorégraphie de mot de Cambronne et des tenues officielles de mot de Cambronne, une sécurité de mot de Cambronne avec, pour la seconde fois, un ordinateur, contenant des plans de ladite sécurité, dérobé dans les transports en commun et un des membres du conseil de cette même sécurité interpellé pour apologie du terrorisme avant d’être interné en hôpital psychiatrique, une cérémonie d’ouverture de mot de Cambronne au cours de laquelle à force de révisions à la baisse, seuls quelques encartés purs et durs avec tatouage d’Emmanuel Macron sur le périnée et qui auront réussi à trouver une place dans des transports de mot de Cambronne sous-dimensionnés à 4€ le ticket, pourront assister au massacre de Piaf par Aya Nakamura et un village olympique, version de mot de Cambronne, mais à 2 milliards, des cages à lapins des années 60 dont personne ne veut, il eût été dommage de ne pas continuer sur la lancée. 

Si, en dépit de tous ces efforts, l’évènement n’était pas le triomphe escompté, en raison de l’infiltration subreptice de quelques supporters anglais ayant échappé à la vigilance de Gérald Darmanin trop occupé avec Kevin et Matéo ; partant du principe que Macron (lequel davantage effrayé par les « trous de balles » que les ragots ne le laissent supposer ne se départ plus de son gilet en Kevlar) a quasiment déclaré la guerre à la Russie juste pour essayer de faire oublier le désastre politico-médiatique (totalement imprévisible) du Salon de l’Agriculture et qu’après un semi-orgasme devant la dénaturation des paroles de la Marseillaise par Catherine Ringer lors de la pantomime de la constitutionnalisation de l’avortement sur laquelle il comptait pour se refaire, il a trouvé le moyen de se prendre un vent par cette dernière alors qu’il tentait une accolade, je commence déjà à prendre de l’iode en suppositoire à titre préventif. 

Pour autant, la délivrance atomique serait-elle pire que de vivre dans un monde où grâce à la virulente abstention de nos oppositions en carton est passé, à l’unanimité, le 6 mars, en première lecture, un texte de progrès, sanctionnant tout propos jugé discriminatoire tenu dans la sphère privée sur la base d’une simple dénonciation ? Les enfants pourront enfin dénoncer leurs fachos de parents pour sauver la démocratie comme en Corée du Nord. Heureusement, c’est pour la bonne cause : la lutte contre l’antisémitisme, phénomène totalement inexpliqué et inexplicable, qui ne fait qu’empirer en dépit de décennies de lutte acharnée à coup de lois liberticides, de leçons de morale, de panthéonisations et de marches solennelles et que même l’éradication systémique de graines de terroristes en couches-culottes qui, entre deux bombardements humanitaires à Gaza, inaugurant le concept du ramadan perpétuel, font semblant, les fourbes, de mourir de faim et de soif au milieu des immondices dans les bras de mamans rétrogrades pas favorables à l’IVG, ne parvient pas à atténuer. Peut-être qu’en mettant Meyer Habib tous les soirs sur TF1 en prime time couplé à une rediffusion hebdomadaire du Shoah de Claude Lanzmann, ce fléau pourrait-il enfin être vaincu. 

Il est vrai que notre paradis du vivre ensemble multiculturel est littéralement rongé par les discriminations au point que Marguerite Stern, ancienne femen, est poursuivie par SOS racisme pour avoir osé déclarer que « proportionnellement les individus issus d’Afrique et du Moyen-Orient agressent plus les femmes » en omettant, l’immonde raciste, les Indiens lesquels, probablement pour protester, ont perpétré, cette semaine, un viol collectif à 7, en version Kamasutra du guide du routard, sur une youtubeuse espagnole faisant le tour du Monde à moto et ce, sans même évoquer Gérard Miller qui, dans la lignée des Polansky, DSK, Epstein et autres Weinstein… fait ce qu’il peut, le pauvre, pour que sa communauté ne soit pas injustement reléguée au bas du classement, ou encore le très écolo (et visiblement pas assez déconstruit) Damien Cassé, compagnon de la députée LFI Ersilia Soudais, placé en garde à vue après une plainte pour viol de l’élue suite à une dispute, comme quoi la marge est étroite entre monter d’un ton et monter un t…, mais je m’égare. 

Il ne faut pas croire pour autant que le gouvernement reste les bras croisés, puisque, sous le patronage d’Aurore Bergé et de La Française des jeux pour le côté roulette russe, il suffira à toute femme poursuivie par des violeurs sur des trottoirs non encore élargis, de lancer une application sur son portable qui lui indiquera où se trouve le bureau de tabac le plus proche, encore ouvert, dans lequel le propriétaire aura suivi un stage qualifiant pour faire de son établissement un refuge anti-agression et, faute de réception 5G (preuve que la chose a été bien pensée) elle pourra toujours profiter de la constitutionnalisation de l’avortement, une fois que les hordes habituelles de Jean-Édouard(s) auront reboutonné leurs braguettes ou que l’épisodique coïncidental et non amalgamable Mamadur sera redevenu Mamadou ou Mamamou.

Comme si le sentiment d’insécurité qui enfle chez et parfois DANS certaines femmes xénophobes n’était pas suffisant, Emmanuel Macron a profité du contexte pour évoquer, pour la première fois, le sentiment de transsexualité dont est victime Monsieur son épouse et qui, dixit : « bouscule son intimité », pas trop en profondeur j’espère. 

En tout cas, la campagne des européennes est bel et bien lancée avec la très macroniste Valérie Hayer, qui, tout en soutenant le noble combat de Stéphane Séjourné pour libérer la syntaxe de ses règles de grammaire dyslexicophobes, est bien consciente, elle, que nous sommes : « à Munich en 1938 ». De toute évidence, on parlera pouvoir d’achat plus tard. 

Pour autant, entre Zemmour et Maréchal scotchés sur le mur des Lamentations, le RN qui s’aplatit sur tout et surtout s’aplatit, les LR fidèles à eux-mêmes, c’est-à-dire à rien, les frexiteurs pas fichus de se mettre d’accord, Jean Lassale (operie pour le coup) qui rejoint la très macroniste liste des ruraux et des chasseurs (sans aucun rapport avec sa mise en examen pour agression sexuelle), Raphaël Glucksmann qui veut à tout prix qu’on attaque Poutine avec les dents, les écolos qui veulent empêcher les vaches de péter et les excitées de LFI qui veulent supprimer la clause de conscience pour les médecins en cas d’avortement, même en étant conscient que la priorité est que Macron, lequel dispose d’un électorat âgé qui survote et sera le premier à bénéficier d’une forte abstention, se prenne la plus grosse déculottée possible, mon enthousiasme votatoire est relativement modéré, d’autant que, perversion du système, tout vote pour une liste qui fera moins de 5% passera par profits et pertes ne faisant que gonfler proportionnellement le pourcentage de celles qui auront fait plus. 

Par ailleurs, probablement un sentiment de grand-remplacement, George Galloway, révolutionnaire d’ultragauche et virulent antisioniste, a été élu au parlement britannique à la faveur d’une élection anticipée en ne faisant campagne que sur Gaza. Dès lors, Mélenchon jouant, lui aussi (quoiqu'un peu plus timidement, en comparaison) la carte du vote musulman en intégrant sur sa liste la militante pro-Palestine Rima Hassan, je suis quand même curieux du score qu’il va faire, ne sachant trop s’il me faudra ou non commander du popcorn pour regarder la suite. 

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lundi 4 mars 2024

Le tarif si on refuse d’aller se battre en Ukraine, Miller, Avortement, JO… (04/03/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/diPVxrz0FJ0

Bonjour ! 

Je ne sais si c’est parce qu’à force de la fantasmer en bas résille, une aiguille à tricoter à la main, le portrait de Simone Veil, qui ornait ma chambre à coucher aux prémices de l’adolescence, avait acquis la viscosité d’un papier tue-mouche (et même petits oiseaux sur la fin), mais je suis fan de l’avortement ; la chose ne s’explique pas. Si cela ne tenait qu’à moi je pousserais même le concept post-partum, façon sniper, à l’israélienne, sans plus trop de distinction entre un amas de cellules et des cellules du Hamas, lorsque le bébé a des malformations, est vraiment trop moche ou sourit devant un poster d’Emmanuel Macron, la société n’ayant pas à payer le coût du choix égoïste des parents de le garder en vie, surtout depuis l’afflux massif en notre beau pays de mineurs isolés avec prise à la terre, atteints d’alopécie précoce et dont il va bien falloir s’occuper faute, à ce jour, d’un droit constitutionnel à l’avortement rétroactif. 

Non, vraiment, l’avortement c’est bien, d’autant qu’en ces temps de déficit structurel, le jus de fœtus (label bien rouge) est une matière première très prisée de l’industrie pharmaceutique et cosmétique, preuve que le « made in France » n’est pas encore mort. Non seulement c’est bon pour le PIB, mais petit bout de cervelle en forme de cerise sur le gâteau, statistiquement, certaines pourront ainsi se séparer en douceur dudit amas de cellules en appliquant leur crème de nuit, laquelle, qu’elles se rassurent, n’aura pas été testée sur un anus de lapin, déontologie oblige. Pour autant, c’est un peu dommage de se priver, en nombre, d’individus potentiellement sains et fonctionnels qui, une fois en phase avec leur trisexualité hélicoïdale à osmose inverse, auraient pu allègrement franchir la frontière ukrainienne dans des chars de gay-pride (sous peine de 5 ans de prison et 500 000€ d’amende, nouveau tarif défini pour les objecteurs de conscience par la dernière loi de programmation militaire) tel que martialement envisagé, en substance, par notre Alexandre le Gland, es« thète de nœuds » gordiens diplomatiques, aspirant, surtout par le nez et sous brevet Dyson, à son heure de gloire, avec cette hybris caractéristique des gens qui s’imaginent sodomiser la planète parce qu’ils insèrent leur micropénis dans une taupinière. 

L’entièreté de la diplomatie européenne, ainsi que l’ONU et les USA, ont immédiatement crié au fou, sans que nos oppositions en carton en profitent pour lancer une procédure de destitution qui, même si elle n’aboutissait pas, finirait de le décrédibiliser à l’international faisant que plus personne ne prendrait ses élucubrations au sérieux. Il n’en demeure pas moins que Poutine, comme chacun le sait, ne rêve que d’envahir la France pour piller nos ressources naturelles, s’emparer de la CAF et de notre enrichissement culturel et que ce n’est qu’après le sac de Surmulot-City et le viol collectif sur matelas recyclé de Sandrine Rousseau, que le tyran sanguinaire pourra enfin succomber à l’un de ses 48 cancers avec la satisfaction du devoir accompli. 

C’est dommage qu’il n’ait pas les moyens en hommes pour envahir des pays non russophones et s’y maintenir contre des populations hostiles, même si, selon le très dilaté Gabriel Attal, son avant-poste serait déjà là, sous les traits de Marine Le Pen, l’immonde fachode qui ne veut pas, la très nauséabonde (à l’instar, pour être honnête, de Mélenchon) d’une troisième Guerre mondiale pour faire plaisir à Raphaël Glucksmann lequel, lui, n’ira certes jamais sur le front, mais qui brave d’autres dangers au quotidien, si l’on considère à quel point une partie de son anatomie est culturellement à découvert, en regard de la dentition de fort bonne facture de Madame son épouse. 

Je dis dommage, car ce que Poutine a les moyens de faire, en revanche, si on le titille un peu trop à la main poilue entre le scrotum et l'urètre, c’est d’hypersoniquement transformer l’hexagone en terrain de pétanque fluorescent avant que notre timonier ait pu sortir son doigt enfariné de sa narine ou de quelque autre orifice et le poser sur le fameux bouton rouge probablement redécoré en arc-en-ciel par le machin à perruque qui, paraît-il, hante, la nuit, les couloirs de l’Élysée en grand-remplaçant les moquettes. Mais je m’égare. Donc, si j’ai bien compris, on crame 300 000€ en congrès pompeux pour modifier la constitution afin de pérenniser à jamais le droit au fœticide… jusqu’à ce qu’on remodifie la constitution tellement peu modifiable qu’on vient de la modifier (sans, toutefois, en profiter pour y rajouter quoi que ce soit sur l’immigration, la souveraineté ou autres problèmes mineurs non prioritaires). Ces gens sont des génies.

Par ailleurs, si on altère substantiellement ce qui est constitutif, le résultat, par définition, n’est plus constitutif, sauf à signifier le début d’une nouvelle république constituée par la nouvelle constitution (l’ancienne ayant été constituée par la constitution originale) ou alors il faut changer le nom et ne plus appeler ça constitution. Ça marche aussi avec constipation, le résultat étant, peu ou « prout », le même.

Certes, on ne peut exiger de personne d’accepter de porter en son sein un petit Gérard Miller au regard torve, conçu sous hypnose avec un pénis sans col roulé, et sauf convictions religieuses profondes ou humanisme à la mords-moi-le-nœud (action qui, justement, aurait pu éviter le problème), il existe de nombreux cas parfaitement légitimes, d’un point de vue individuel, d’en passer par ce processus. Pour autant, de même que sourire à quelqu’un qui vous éclaire sur la taille hors norme d’Allah en brandissant un couteau décapitatoire ou que s’excuser pour des propos jugés offensants ou antichose, comme souvent quand l’état « s’emmêle », cette vision à court terme, au nom, principalement, du droit de la femme à être un homme comme les autres et à s’envoyer en l’air sans en peser préalablement les conséquences, provoquera, bien évidemment, le contraire des résultats escomptés. 

Dans un premier temps, le déficit de naissances, accompagné de l’arrivée massive d’enrichisseurs culturels, peu chauds à l’idée d’aller mourir en Ukraine, mais ravis à celle de pouvoir enrichir culturellement les veuves des gogos qui y seront allés lorsqu’elles peineront à passer sous les 11 secondes au 100 (se faire) mètres arrêté, se traduit déjà par l’effondrement de la société dite « patriarcale » sans le support de laquelle le mirage de la femme à chats, forte et indépendante, va s’évaporer façon plainte contre Dupont Maserati durant un de ces pics de réchauffement climatique provoqués par les vaches qui pètent et que même des jets de soupe sur des œuvres de maître ne parviennent pas à empêcher. Au meilleur des cas, les femmes seront traitées comme au Paléolithique supérieur et, au pire, la nature ayant horreur du vide, déjà remplacées dans les compétitions sportives et les concours de beauté par des bidules LGBT, en reléguant leur fonction première au rang de commodité, seront déclarées obsolètes avec l’avènement de l’ectogenèse, c’est-à-dire l’utérus artificiel déjà expérimenté et, dans leur fonction secondaire relationnelle, seront, comme d’ores et déjà sur Instagram ou Onlyfans, « avantageusement » remplacées par des intelligences aussi artificielles que les seins de leurs prédécesseuses et peu sujettes aux bouffées de chaleur. 

Merci donc, les « féministes » lesquelles, à l’instar des idéologies mortifères dont elles sont le produit, abhorrent tout ce qui est beau, à commencer, paradoxalement, par la femme elle-même (la féminine en tout cas) d’où le couronnement, à Miss Allemagne, d’une quadragénaire turque contre laquelle Nicole Belloubet en minijupe, sous le bon éclairage d’une ampoule de 0,5 watt judicieusement tamisée, aurait eu une chance raisonnable de l’emporter. Il en est de même dans l’art et la musique. C'est ainsi que le pervers narcissique qui nous gouverne, après s’être rendu compte qu’en dépit de tous ses efforts, il restait encore de petits bouts de l’image de la France non recouverts d'un substrat reconnaissable à son odeur et sa couleur macron foncé, a jeté son dévolu, pour inaugurer des JO (dont les plans de la sécurité ont été volés gare du Nord et qui promettent de rester profondément dans nos « anales ») sur la pétulante Aya NAKAMURA qui, après notre imminente extinction, poussera au suicide collectif toute civilisation extra-terrestre qui essaiera de reconstituer notre langage sur la base de ses chansons. Un choix motivé par la volonté de, dixit : « faire rayonner la culture française » tant il est vrai qu'une fois multiplié par π, le rayon de cette dernière peut se voir de loin.

En attendant un hypothétique homme providentiel au sphincter anal monodirectionnel, avec un seul passeport, un casier judiciaire vierge, si possible des enfants et un souci de continuité du projet démarré sous Clovis qu’on appelle la France, cela commence à sentir mauvais entre les arrivistes corrompus et autres amateurs de pédales dont l'odeur de selles des selles, et d'aisselles des celles et ceux qu'on descelle les soutenir, finit par devenir suffocante. Même les promesses de Macron aux agriculteurs, de plus en plus en colère, et qui découvrent les délices des plaquages au sol et autres gardes à vue, ont été « avortées » avant même qu’il ait eu le temps de fermer sa grande bouche avec, non seulement la poursuite du Mercosur, mais de nouveaux traités de libre-échange avec le Kenya et le Chili signés en plein salon de l'agriculture. 

Mais il ne faut pas désespérer juste parce qu’épisodiquement, une gamine de 12 ans se fait sexuellement enrichir sur les Champs-Élysées ou qu’une autre, du même âge, se fait violer pendant des mois, par une bande de 17 « mineurs » défavorablement connus des services de police; tandis que la presse nous narre les malheurs, non plus de Sophie, mais d’Anne-Sophie Lapix dont le modeste hôtel particulier gagné à la sueur de son… on va dire « front », dans le quartier mal famé du 16e, a déjà fait l’objet de deux tentatives d’effraction par des individus qui, par un pur hasard statistique, comme ceux précédemment cités, vont hélas renforcer les préjugés nauséabonds des adversaires du vivre ensemble et dont une partie a déjà été appréhendée grâce aux efforts de la police scientifique, connue pour sa célérité à se déplacer lorsque le citoyen lambda se fait cambrioler. Il ne faut pas désespérer, car des contes de fées modernes sont encore possibles, comme pour ces centaines de migrants importés à nos frais par avion de Mayotte, dont les kwassa-kwassa se sont transformés en citrouilles avant qu'ils ne soient hébergés dans un véritable château dont, pour mieux les accommoder, le mobilier Louis XVI a été vendu pour une bouchée de pain à la farine ukrainienne détaxée. Elle est pas belle la vie ? 

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lundi 26 février 2024

Macron totalement humilié (26/02/2024)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/BWpfTJ6V088

Bonjour ! 

De temps à autre, au rythme de mes mouvements péristaltiques, il m’arrive d’avoir une pensée furtive pour Emmanuel Macron, laquelle, généralement, s’estompe avant que le réservoir de la cuvette ne soit de nouveau rempli. Je m’en tiens généralement là, sauf gastro-entérite carabinée ou battage médiatique intempestif comme ce week-end où, tel le chevalier « braillard », on nous l’a dépeint, montant seul à l’assaut des hordes paysannes avec pour tout rempart quelques maigres compagnies de CRS et de gendarmes mobiles, à peine autant de policiers en civil et seulement quelques dizaines de gardes du corps. Une épopée wagnérienne que l’histoire retiendra sous le nom de prise de la pastille… un peu dure à avaler du salon de l’agriculture. Quant à la sacrée paire que certains lui attribuent, pour avoir osé se présenter, elle se résume à Agnès Pannier-Runacher et Marc Fesneau qui pendaient mollement à ses côtés, tandis que quelques vaches flatulentes, cause principale, avec les Clio diesel, du réchauffement climatique, recevaient enfin la monnaie de leur pièce sous forme de gaz lacrymogène. 

Tandis que les agriculteurs qui avaient eu l’outrecuidance de se rendre au salon de… l’agriculture étaient tenus à 30 mètres de distance, que le public était privé de quasiment une journée de visite du fait du prince et que les « macron démission » fusaient, pétris de l’idée optimiste que la notion de honte était universelle et pourrait décrocher jusqu’à un hypothétique morpion obèse collé à la Superglue sur un prolapsus hémorroïdaire de Gérard Larcher, Jupiterne a eu tout loisir d’expliquer à quelques figurants autorisés sa théorie selon laquelle, lorsqu’on a le boulet de l’Union européenne au pied et un plug anal ailleurs, la solution n’est pas d’enlever de façon rétrograde ledit boulet et le plug anal, mais d’apprendre à courir avec, jusqu’à être assez compétitif pour concurrencer ceux qui n’ont pas de boulet au pied et de plug anal aux fesses. Le concept est certes à peu près aussi intuitif que l’idée d’un suppositoire contre la migraine, mais il sait visiblement de quoi il parle, sauf peut-être en ce qui concerne le boulet, d’où sa propension au re-« fondement » perpétuel. 

Tout en essayant de caser autant de fois que possible l’expression « je ne suis pas un lapin de 6 semaines », histoire de faire paysan et ce, avec le même effet qu’un pet dudit lapin sur une toile cirée à la propolis siliconée, il a démenti avoir sollicité les talpidés des soulèvements de la Terre pour participer à son grand débat, avorté façon Simone Veil sous stéroïdes, contacts pourtant confirmés par lesdits soulèvements de la Terre lesquels, pas intéressés n’ont pas dit « taupe »-là. Oubliant qu’on est au 21e siècle où les paroles restent et se propagent à la vitesse de la fibre optique, il a également tenté de nier avoir dit, en substance, que la faute de la situation des agriculteurs incombait au sans-dents de base qui préfère son abonnement à Netflix à une nourriture de qualité. Cela me fait penser aux récits de feu ma mère qui m’expliquait que pour oublier la faim qu’elle a connue dans sa jeunesse, elle allait parfois au cinéma, particulièrement bon marché à l’époque, diffusion de la propagande américaine oblige. 

Netflix coûtant 10,99€ par mois, ce qui est déjà cher pour apprendre que Cléopâtre était noire et probablement lesbienne ascendant capricorne non genré, des esprits retors pourraient s’interroger quant à la pertinence, si les choses étaient aussi simples, de donner des milliards à l’Ukraine sans consulter personne plutôt que de payer Netflix à tous les pauvres afin qu’ils puissent sauver l’agriculture en mangeant bio. Mais peu nous chaut, car comme Macron a eu tout loisir de l’expliquer ensuite, tout est de la faute du Rassemblement National, soi-disant parti du FREXIT. Et pendant que quelqu’un ramassait au loin François Asselineau tombé à la renverse, on était bien forcés de reconnaître qu’un suicide tous les deux jours, simplement pour faire monter le score de Bardella aux européennes, relève quand même d’un certain degré de fanatisme. 

Après ce fiasco sur toute la ligne… nasalement aspirée, quand notre agriculture sera décédée et qu’on bouffera des insectes et de la viande cultivée à partir de cellules anales de vaches kasher, Macron, qui ces temps-ci, a toujours le panthéon baissé, pourra toujours tenter de l’y faire entrer par quelque orifice béant… s’il reste de la place au rythme actuel d’une cérémonie par semaine ; d’autant que même si la plupart des récipiendaires, hasard des coïncidences, font partie d’autres communautés que la française, leur remigration ne pourrait se faire qu’en passant sur le corps défendant de Marine Le Pen laquelle vient de faire signer un document à l’AfD, par lequel cette dernière s’engage à renoncer à toute remigration d’Allemands non teutons, sous peine de rupture d’accord de coopération au niveau de leur groupe commun à l’assemblée européenne. Je vais tenter un « Tarzan, au secours ! » l’appel à Jane du papa n’ayant visiblement pas marché ! 

Un autre responsable de nos malheurs, c’est le Français pas encore misérable qui économise bêtement au lieu de donner ses sous à Bruno Le Maire lequel cherche désespérément 10 milliards à dilater et a déclaré vouloir prendre l’épargne qui dort pour, en substance, financer la guerre en Ukraine et mettre la Russie encore plus à genoux, tablant sur le décès de l’escroc Navalny dont le flambeau est repris par son épouse, sachant qu’à l’instar de Von Der Leyen (candidate au passage à sa propre succession), Madame « Navalny ne sut se… » retenir de se fendre d’un sanglot. S’il reste des sous, outre l’accueil de davantage d’enrichisseurs culturels, notre brave Bruno souhaite investir dans l’intelligence artificielle, enfin à la hauteur des enjeux du 21e siècle, puisque lorsqu’on lui demande de générer l’image d’un viking, d’un nazi ou de n’importe quel personnage historique, elle les fait ressembler, fort judicieusement, à Justin Trudeau déguisé en Omar SY tombé dans une boîte de cirage une nuit d’éclipse au fond du gouffre de Padirac, au point que Google a dû s’excuser devant le tollé provoqué par Gemini, sa nouvelle mouture, chez les forcément suprématistes blancs paradoxalement amateurs d’heures sombres. 

On en oublierait presque la cérémonie des césars, ou plutôt des cléopâtres si l’on se fie au palmarès, illustration de l’oppression systémique par le patriarcat, tandis que les gentils migrants sous OQTF, que les mêmes ne dénoncent jamais, continuent les viols d’octogénaires ou les actes de barbarie comme ceux subis par cette habitante du 15e poussée chez elle par deux individus alors qu’elle ouvrait sa porte, avant d’être violée et lardée de coups de couteau, en même temps (comme aurait dit l’autre), probablement en raison d’une confusion quant à la notion de double pénétration par quelqu’un qui ne maîtrisait probablement pas les codes… ou les phares, n’étant visiblement pas une lumière. 

Mais ne désespérons pas ! En attendant de bouffer des insectes entre deux coups de couteau le temps que se termine la troisième guerre mondiale qui nous pend au nez, nous avons la chance de vivre dans un monde où tout est possible et dans lequel, selon Xavier Poussard de « faits et documents » lequel, après des années d’enquête, disposerait à présent de suffisamment de preuves pour être affirmatif et risquer un procès, il suffit à un détourneur de mineur de 80 ans (d’où l’expression de Macron « dès demain on va au charbon ») d’enfiler, entre autres, une perruque et l’identité de sa sœur cadette pour se transformer en première dame d’un coup de braguette magique. Elle est pas belle la vie ? 

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lundi 19 février 2024

L’état du PAYS en mode BRASSENS (chanson parodique) (19/02/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/3qr31CRDh_k


Texte :
Un jour l’Union européenne
En bon toutou des USA
À une offre très très malsaine
Acquiesça
Importer du bout de la terre
Sur de polluants gros rafiots
Force produits alimentaires
Déloyaux
Elle informa ses marionnettes
Ces vipères en notre sein
De la nature fort malhonnête
de ses desseins
Après l’industrie moribonde
Et son peuple en le remplaçant
Pour rayer la France du monde
Sus aux paysans


Quand Macron débitait son verbiage
En frôlant sa moumoute du doigt
Tous les gars en tracteur du village
Étaient las lalalalala
D’entendre ça lalalalala
Ursula avait le même message
Les tracteurs ça pollue, il faut pas
Énervant tous les gars du village
Qui tous fixaient le manche en bois
De leur fourche qui était là lala


Ya 50 milliards pour l’Ukraine
Du pognon pour les députés
Plus 300 € pour leur peine
Bien comptés
C’est 700 pour nos bon sénateurs
Les sextapes, boulot de romain
Surtout les actes masturbateurs
Sans les mains
Il y a des sous, pour BHL
Qui, c’est vrai, aux navets s’est mis
Et autres subventions à la pelle
Aux amis
Fond Marianne, import de migrants
Cours de drag queen pour enfants
Mais pour l’hôpital c’est flagrant
La bourse on défend


Quand Attal déhanchait son corps sage
Pour semer le doudoute sur son cas
Sur la paille étaient posées ses pages
Bien à plat lalalalala
Bien à plat lalalalala
Depuis que grâce à Bruno Le Maire
Quelque chose un jour se dilata
Nous goûtons tous à l’orange amère
Quand la note EDF nous envoie
10 milliards de bénéf ma foi


Censure en masse, sur Telegram
Même Cnews pour eux c’est déviant
Ils ont une guéguerre au programme
C’est criant
Quand des paysans se suicident
D’autres meurent, sur des brancards
Et on poignarde les ventres vides
Des smicards
C’est devenu comme à Mayotte
L’État capable de rien régler
A défaut de faire un sans fiotte
Acculé
Concentre ses forces de police
Sur les cons qui payent des impôts
Des fois qu’en eux l’idée s’immisce
De lui faire la peau


Yen a une qui rembourre son corsage
On a de gros doudoutes sur son chat
Toutes ces perruques c’est du gaspillage
Certains avancent le postulat
Qu’un iel est là lalalalala
Quand Macron débitait son verbiage
En frôlant sa moumoute du doigt
Tous les gars en tracteur du village
Étaient las lalalalala
D’entendre ça lalalalala
Même les ténias ça part tout seul, pas ce type là


dimanche 11 février 2024

Mauvaise semaine pour les mondialistes (11/02/2024)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/R2JsDMpvprE

Bonjour ! 

Nicole Beloubet nouvelle ministre de l’Éducation Nationale ! Cela soulève des questions et, sans subtilités « ni colle », « Belle ou bête ? » est certainement la plus facile à laquelle répondre. Il faut bien reconnaître que sauf à se déguiser en gobelet de pop-corn, même coincée entre Gérard Depardieu et Gérard Miller dans une salle obscure projetant le film de 9h30 de Claude Lanzmann, boudé par à peu près 68 millions d’antisémites lors de sa récente diffusion sur France 2, ses chances d’attirer une main baladeuse aux abords de son string en dentelle (car c’est une grande optimiste) sont relativement modérées. Gageons qu’ils mettraient plutôt la main au « Pannier-Runacher » d’Agnès, laquelle, en tant que ministre déléguée à rien, vient compléter, avec la cousine de Laurence Ferrari (preuve supplémentaire qu’il n’y a aucune accointance entre les sphères politiques et médiatiques) la collection de bras cassés recrutés pour boucher les trous par trop dilatés d’un gouvernement pourtant resserré. 

À défaut de pouvoir postuler pour une sextape auprès des schtroumpfs à langue bleue du sénat, comme évoqué par le canard enchaîné qui avait aussi sorti l’info, en novembre, du sénateur drogueur de députée femelle, tout espoir n’est pas perdu pour Nicole puisque, comme quasiment chaque semaine désormais, on apprend qu’une arrière-grand-mère, cette fois de 91 ans (le record à battre, si je ne m’abuse, étant de 96), s’est culturellement fait enrichir la zone pelvienne par un potentiel mineur isolé de 34 printemps, visé, pure coïncidence (non amalgamante) par une OQTF. Probablement un grand romantique, inspiré par la belle idylle « trans »-générationnelle élyséenne, rampe de lancement du réarmement démographique. 

Pour rester dans les romantiques, quid de Gérard, précédemment évoqué, qui Miller de rien, est accusé de plus de 40 agressions sexuelles et viols sous hypnose sur de très jeunes femmes ? Chose qui, bizarrement, soulève beaucoup moins de réactions indignées qu’essentiellement les propos grivois et pincements de fesses qu’on reproche à Depardieu, s’agissant pourtant de deux hommes blancs de plus de 50 ans, nés la même année, les deux dans le showbiz, portant le même prénom et bénéficiant, théoriquement, de la même présomption d’innocence. Quand on voit ce que s’est pris, à l’époque, Adrien Quatennens pour une baffette, faisant que, paradoxalement, c’est quand il ne roucoule plus que le roux coule, ce n’est pas son appartenance à l’extrême gauche qui protège Miller. Vraiment, je ne vois pas, sinon à considérer que c’est son côté circon…spect. 

Histoire de me changer les idées, j’ai écouté l’interview de Vladimir Poutine par Tucker Carlson lequel, contrairement à Macron, a dû se contenter d’une toute petite table dont on pouvait faire le tour sans mobylette et ne nécessitant même pas un téléphone portable (dont incidemment, 600 000 sont volés chaque année dans l’hexagone) pour communiquer entre les deux interlocuteurs. Première déception, il n’a pas été question de la rétrogradation d’Oudéa Castéra aux sports et aux JO, de la bise velue de Meyer Habib (homme à « barbe laid » qui pique) à Jordan Bardella lors de l’hommage aux 42 citoyens israéliens, morts en Israël et qui, par l’effet de superposition quantique du concept mystérieux de double nationalité (qui fait qu’on peut être à la fois dedans et dehors de quelque chose) sont considérés comme Français, ou encore de la mort de l’infâme Badinter grâce auquel Nordahl Lelandais peut goûter aux joies de la paternité et qui, en nous privant du droit de tuer, nous a laissés sans solution contre les criminels avec (ou sans) OQTF. 

Un Badinterminable lequel rejoint au panthéon inversé républicain (qui encense, à grand renfort de larmes de crocodile obligatoires, tout ce qui tue la France) le traître Delors et (la répulsion à ôter la vie se cantonnant aux pauvres criminels incompris et non aux infects fœtus à forte teneur en CO2) la goule Simone Veil à laquelle on doit un déficit cumulé de 20 millions de Français avec lesquels l’immigration de masse n’aurait eu absolument aucun sens. Rien de tout cela donc, abordé par Poutine, donnant la vague impression que tout ce qui fait la une de notre théâtre médiatique franco-français revêt, en fait, l’importance d’une chiure de mouche anémique sur une bouse de diplodocus, sous laxatif à ARN messager et au sphincter aussi relaxé que… François Bayrou. 

Ce qui n’est pas sans évoquer Darmanin qui vient de « démayotter » la forte couche qu’il tient, en démarrant l’importation massive vers l’hexagone de migrants comoriens, répandant le contenu de ladite couche dans les campagnes françaises. Pour détourner l’attention de cet enrichissement azoté, dans une pure logique darmanienne, en attendant (après l’arrestation de 40 nationalistes pour s’être recueillis sur la tombe de Robert Brazillac au prétexte que 2 avaient des béquilles qui seraient des armes par destination) la dissolution inéluctable et en urgence, des scouts de France pour régler le problème de Mayotte ; de la même façon que l’on a entubé les agriculteurs, on annonce la suppression du droit du sol sur l’île (et seulement sur l’île, car pourquoi priver toute la France des joies de la submersion migratoire) par la promesse verbale d’une réforme de la constitution qui, sauf si elle sert de prétexte pour introduire un 3e mandat de Macron, aura lieu, on suppose, le 31 février 2040, jour de la Saint Glin Glin, patron des anus à forte élasticité. Mais je digresse. Revenons à l’interview. 

Pour être honnête, Poutine a roulé dans la farine détaxée ukrainienne le pauvre Carlson (qui, comme la plupart des Américains, faute d’en avoir une, n’a aucun sens de l’histoire, même s’il a un diplôme dans cette discipline) en déroulant pendant 20 longues minutes, de façon assez peu « orthodoxe », bien que pas très catholique, l’historique complet de 1000 ans de rapports russo-ukrainiens, en le détaillant presque jusqu’à l’étiquette « lavage à 30° » de la culotte de Vladimir le Grand, mais (probablement distrait par une mouche à propulsion hypersonique qui passait) en omettant juste l’Holodomor de 1932 quand Staline, lui aussi fan des comptes ronds, a fait sciemment mourir de faim 4 millions d’Ukrainiens. Un oubli purement accidentel à n’en point douter, qui lui a permis de dire, en gardant son sérieux et sans être contredit, qu’il ne comprenait pas pourquoi, ensuite, l’URSS s’était sentie obligée d’accorder une forme d’indépendance et des territoires supplémentaires à l’Ukraine, mais que, grosso modo, il s’agissait d’une belle et grande famille que rien ne séparait. 

Il a alors pu enchaîner, adhérant (indice qu’à terme ceux qui voient en lui un messie seront inévitablement déçus) au catéchisme de ses adversaires sur la nécessité d’éradiquer le mal absolu, lequel serait le nazisme, même si, de son propre aveu, le fait que les soi-disant nazis acceptent un Juif à leur tête avait de quoi laisser perplexe, pour conclure en expliquant incidemment, comment Hitler (un peu comme lui) a été forcé à la guerre par les « gentils », toujours sans que Carlson ait deux neurones qui se touchent. Un objectif d’éradication du moulin à vent du nazisme commodément impossible à quantifier dans l’espace et la durée, légitimé au motif que « tous les pays le combattent », ce qu’encore une fois, Tucker Carlson n’a pas relevé, alors que les USA les premiers, de par leur premier amendement, de même qu’une partie des BRICS, ne l’interdisent absolument pas. 

Pour le reste, même 10 Macrons enfilés façon bilboquet, ne lui arrivent pas au petit doigt du pied et ce qui a suivi a été parfaitement factuel, même si quelqu’un qui suit un peu l’actualité autrement que sur BFM, en confondant le vibromasseur et la télécommande, n’aura rien appris de nouveau concernant les magouilles de l’OTAN, les accords de Minsk, Boris Johnson envoyé en catastrophe en avril 2022 pour faire capoter l’accord de paix déjà présigné à Istanbul, ou le sabotage des gazoducs Nord Stream par le seul pays qui y avait « à la fois un intérêt et disposait des considérables moyens techniques et militaires nécessaires »… on aura tous reconnu le Lichtenstein. 

Mais pour l’Américain moyen, habitué à un président qui ressuscite Mitterrand, confond l’Égypte et le Mexique et ne sait plus ce qu’il a fait il y a 5 minutes, un type capable de raconter 1000 ans d’histoire de façon encyclopédique a quelque chose de fascinant. D’autant plus lorsqu’on a affaire à un individu qui tient un discours modéré et conciliant et qui parle de défense de la famille et de foi chrétienne alors qu’on le lui présentait comme un tyran sanguinaire. Le coup de grâce étant porté par la démonstration convaincante, exemples à la clé, que le président des États-Unis n’a aucun pouvoir véritable et que ce qui veut la guerre c’est le pouvoir profond (sans toutefois que soit évoqué l’éléphant dans la pièce, à bout de trompe plus ou moins intact, qui le compose). 

Autant dire que l’ensemble, visionné, sans compter les multiples copies et traductions, par 200 millions de personnes dans sa version anglaise, a fait l’effet d’une véritable bombe à fragmentation médiatique et ce, pile au moment où Biden essaie désespérément de faire voter des fonds pour continuer à alimenter en chair à canon ukrainienne une guerre perdue d’avance, détruisant au passage un des derniers pays blancs dont les hommes pourront ensuite être avantageusement remplacés par des enrichisseurs culturels dans une béate créolisation mélenchonienne qui conduit immanquablement au bonheur éternel et à la paix entre les peuples, amen ! 

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lundi 5 février 2024

Guerre civile au Texas, eaux de sources contaminées, agriculteurs b… (05/02/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/MYi4illgA5E

Bonjour ! 

Comme prévu, les agriculteurs l’ont eu dans le cul, au figuré bien sûr, pas au propre (relatif), ce qui, selon Gabriel An… Attal en fait des réfractaires au progrès, car dixit : « Être Français en 2024, c'est pouvoir être Premier ministre en assumant son homosexualité ». Une assertion « avec » fondement (et un peu « dans le ») concernant « putativement »… je dirais au moins 4 de ses prédécesseurs si on se penche « dans » les « annales » de la 5e république. 

Dans la foulée, notre fier hobbit de la communauté de l’anus, qui n’a pas encore perdu sa virginité 49-tri-alinéatoire a, paradoxalement, annoncé la suppression de l’ASS (les anglophones comprendront l’ironie) acronyme d’Allocation Spécifique de Solidarité, pour les chômeurs en fin de droits qui subiront, eux-aussi, une forme de « ré-insertion » qu’ils eussent préférée professionnelle, tout le monde ne pouvant fusionner les deux. 

En guise de vaseline, nos chers paysans ont eu droit à des larmes compatissantes de crocodile allergique aux graminées et à des promesses verbales faites avec des mots qui sortent de la bouche (c’eût pu être pire) dont 150 millions pour les éleveurs qui vont de mal en « pis ». Il n’en fallait pas plus aux traîtres de la FNSEA (Fourbes Nauséabonds Sans États d’Âme), laquelle selon une note des RG, reprise par Le Monde, exerçait en douce une pression sur les pouvoirs publics pour stopper les convois de tracteurs, pour siffler la fin du match, laissant Ségolène Royal, toujours un peu longue à la détente, ferrailler seule contre la manquedegoûtitude de la tomate bio espagnole. 

Il est vrai qu’à l’image de notre première dame (dont les photos sur l’article de Gala.fr relatives au dîner en Suède montrent des plis bizarres sur la jolie robe) les temps sont durs et que les êtres d’exception qui nous gouvernent ont déjà eu beaucoup de mal à trouver les 50 petits milliards de rien du tout que l’UE vient d’accorder à l’Ukraine en échange de rien, sachant que la France va en payer au moins 10, mais pas grâce au commerce extérieur puisque, si à la « grosse Commission » européenne les échanges de malles vont bien, selon les douanes, nos échanges de biens vont mal avec un déficit record de 110 milliards sur un an. 

Comme si ce n’était pas suffisant, dans un accès de folie altruiste, Bruno Le Maire qui nous avait promis 10% de hausse du prix de l’électricité (à cause de Poutine lequel, par quelque magie génuflexatoire, nous oblige, apparemment, à le dilater comme jamais sur le cours du gaz) a fini de vider les caisses en nous négociant, au dernier moment, un tarif préférentiel de « ouf » à 9,98% en tapant le code TULASENTBIEN. Il ne reste donc plus rien pour les agriculteurs qu’il convient désormais de diaboliser, le c*nnard déchaîné alertant déjà, dans ses colonnes, sur leur possible infiltration par les « fachos ». 

De toute façon, le siège de Paris ne pouvait que tourner court, ne serait-ce qu’en raison des énormes réserves de la capitale en surmulots protéinés même si la soif, elle, aurait pu finir par se faire sentir, plus personne ne voulant consommer l’eau de la Seine depuis qu’Hidalgo se baigne dedans. Par ailleurs, selon certaines « sources », il s’avère que Nestlé, Alma et probablement d’autres traitent les leurs en cachette depuis plusieurs années, et ce, avec l’aval du gouvernement, lui aussi « mouillé », trop de « liquide » étant en jeu. 

Le problème est surtout qu’ils ont été obligés de le faire pour masquer le fait que lesdites sources sont désormais irrémédiablement aussi contaminées que la main gauche de certains papier-toilettophobes un lendemain de coucous aux coliformes. Il est donc dangereux de consommer leur eau telle quelle sachant que si, à contrario, elle est osmosée, filtrée au charbon actif puis achevée aux ultra-violets autant purifier directement de l’eau du robinet (ce que certains ne se sont pas privés de faire en mélangeant allègrement les deux) ou recycler de l’urine bio d’écologiste, mais plus rien ne justifie alors de vendre 100 fois plus cher des eaux dites « minérales naturelles », qui ne sont plus ni l’une ni l’autre ce que, nul doute, ils vont pourtant continuer à faire, tablant sur la mémoire de poisson rouge « trépané » (en mode Findus) de consommateurs qui ont quand même voté Macron 2 fois. 

Dès lors, on comprend tout à fait pourquoi, exilé, après l’Inde, en Suède, le temps que les gueux retournent crever dans leur campagne, ce dernier a déclaré que « la première menace envers les démocraties européennes est la manipulation de l'information », même si ce n’est pas sympa de dénoncer ainsi Elisabeth Borne et Agnès Pannier-Runacher qui ont, certes, gardé le scandale sous le coude, mais qui ne sont plus au gouvernement pour se défendre. 

Notre virtuose des relations internationales aurait pu s’en tenir là, déjà tout auréolé sous les bras de ses succès en Afrique, avec, dernier développement, le Burkina Faso, le Niger et le Mali qui quittent ensemble la CEDEAO et bientôt le franc CFA. Mais, que Mélenchon se rassure, ils continuent généreusement à nous envoyer leurs ressortissants tel ce Malien, que la presse dit déséquilibré, c’est à dire marteau, à l’instar de celui qu’il a utilisé (en sus du traditionnel couteau) pour blesser 3 personnes, ce samedi, en gare de Lyon, gare où, il y a quelques jours, avant-goût des JO 2024, un autre individu en tenue de Séjourné pour sa nuit de noces (le tutu rose en moins), a déféqué ton sur ton, en pleine journée, au milieu du hall et jeté sur les voyageurs le fruit de ses entrailles en forme de militantes écologistes aspergeant la même chose (en version non encore digérée) sur l’immonde Joconde, responsable du réchauffement climatique et probablement nazie d’extrême droite, à en juger par son sourire en coin. 

Il aurait donc pu s’en tenir là, mais enivré par le fait que, pour une fois, il n’était pas tout seul au bout de l’immense table de 10 mètres, toujours depuis la Suède, entre le caviar de Kalix et le jarret de renne braisé, il est de nouveau entré dans l’histoire en faisant solennellement don de notre dissuasion nucléaire à l’Europe, tout seul, comme un grand, sans consulter personne. Un cadeau à sens unique, puisque non seulement il ne pourra pas annuler l’accord Mercosur, mais qu’il a fini par accepter l’Artificial Intelligence Act européen, faisant qu’alors que, par miracle, nous avons, depuis quelques mois, des startups leader en intelligence artificielle, comme, par exemple, Mistral AI qui taille des croupières au célèbre chat pétomane, ces dernières vont désormais devoir courir avec des boulets réglementaires aux pieds que n’auront pas leurs concurrents. 

Ces mêmes boulets enduits de moraline lubrifiante à deux balles que l’Union européenne, après avoir coulé notre industrie, notre automobile, notre système de santé et EDF, a mis aux chevilles de nos agriculteurs avec son idéologie poussant à éliminer les vaches parce qu’elles pètent, contrairement aux migrants, lesquels rejettent seulement de l’oxygène parfumé à la rose et qu’on se doit donc d’accueillir en nombre. Je passe sur l’augmentation du « sentiment » d’insécurité avec, selon les derniers chiffres officiels, plus de 1000 homicides et de 4000 tentatives d’homicide en 2023, dans un pays où, sachant que les plaintes sont seulement le sommet émergé du plug anal, on en dépose toutes les heures : 44 pour agression, 11 pour viol et agression sexuelle, 80 pour vol dont 7 avec violences, 25 pour cambriolages et 63 pour actes de vandalisme. 

Bref, si on ne veut pas que l’Union européenne nous tue, il faut tuer l’Union européenne ce qui sera plus facile si son modèle fédéral américain se déconstruit méthode Sandrine Rousseau, chose qui n’a jamais été aussi près d’arriver depuis la guerre civile avec les mêmes causes profondes qui n’ont jamais été l’abolition de l’esclavage. Devant l’inaction de l’État fédéral, le Texas a installé des barbelés et des barges flottantes à sa frontière avec le Mexique pour arrêter le flot continu des 2 millions de futurs électeurs démocrates qui traversent annuellement le Rio Grande jusqu’audit Texas, barbelés contre lesquels meurent déchiquetés de gentils envahisseurs, chose intolérable pour Biden qui a menacé d’envoyer ses troupes s’ils n’étaient pas enlevés, chacun s’arcboutant sur une interprétation différente de la constitution. Le gouverneur à l'Abbot (c'est son nom) de personne, a refusé, menaçant de faire sécession et a envoyé sa garde nationale pour protéger et renforcer lesdits barbelés, appuyée par celles d’autres états (dont une trentaine le soutiennent) ainsi que par des milliers de volontaires armés qui affluent de tout le pays avec des affiches « le paradis a des frontières, l’enfer est ouvert à tous », tout ce beau monde étant prêt à en découdre si nécessaire. 

Ce n’est pas mieux à l’extérieur où les bases militaires US, implantées sans demander la permission à personne, sont attaquées de partout, avec récemment trois soldats tués que, faute de pouvoir viser directement l’Iran, Biden essaie de venger en saupoudrant des bombes un peu partout au Moyen-Orient et sur les Houthis lesquels, à l’inverse de Moïse, essaient de fermer la Mer Rouge et de bloquer l’approvisionnement en matériel militaire d’Israël fort occupée à transformer la bande de Gaza en terrain de pétanque. Mais là aussi, ça sent mauvais comme une caisse d'houthis, sachant que ces derniers ont menacé de couper le câble optique sous-marin par lequel transite un pourcentage considérable du trafic Internet mondial et des lignes téléphoniques internationales. 

Si l’on ajoute les manifestations, notamment agricoles, qui, contrairement à la France, sont en train de s’intensifier dans toute l’Europe, l’édifice mondialiste est donc en train de se fissurer de partout. Pour autant, il ne faut jamais sous-estimer les pulsions suicidaires de l’occident comme en attestent ces milliers d’Allemands réclamant, à cor et à cri, d’être balayés par la sélection naturelle et qui manifestent, au nom de la démocratie, pour faire interdire ceux qui ne pensent pas comme eux, c’est-à-dire qui veulent survivre, en l’occurrence l’AFD qui a au moins le mérite d’offrir un débouché politique auxdites manifestations et de les stimuler. 

En France, en revanche, on a le choix entre le RN qui, grosso modo, campe (d’où l’intérêt d’avoir des tentes) sur la ligne de Georges Marchais des années 70, Reconquête, en pèlerinage intermittent sur le mur des Lamentations, qui se veut le RPR des années 80, et une nuée de partis souverainistes dont le gros nœud des têtes (et non l’inverse), quand il n’envoie pas des lettres enflammées ou des mails langoureux à quelque éphèbe ou ne se fait pas déconstiper à l’ancienne, faute d’avoir de l’honneur, de sorte qu’il peut, sans souci, se pavaner après, a sa petite fierté faisant que ses composantes ne sont pas foutues de s’unir pour saisir le fruit prêt à tomber tout seul dans leurs petits bras virils. 

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lundi 29 janvier 2024

L'enfumage n'a pas marché ! Voici ce qu'Attal va faire (29/01/2024)

Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/P67hOKZZofk

Bonjour ! 

Ô surprise, Laurent Fabius a circoncis avec les dents jusqu’aux amygdales la pourtant timide loi immigration, confirmant que le Conseil Constitutionnel (ConCon pour les intimes), telle la mouche coprophage, aux ailes irisées par les reflets du soleil de l’aube sur quelque goutte de rosée matinale qui se pose avec élégance sur la bouse moelleuse encore fumante d’une vache insomniaque, est en parfaite harmonie avec ce gouvernement, sinon fumant, au moins fumeux. Adieu veau, vache et surtout cochon, remise en cause du droit du sol, quotas, préférence nationale… et bonjour régularisations pour les métiers en tension. 

Ça fait un peu mal OQTF, même si on peut, désormais, en délivrer une plus facilement aux gens vraiment méchants, sachant qu’au bout de 3 la quatrième est gratuite, commuée en Oubli de Quitter le Territoire Français quand ce n’est pas en Obligation Quotidienne de Tuer des Français, comme cette famille d’agriculteurs décimée par des sans-« papiers d’Arménie » (pour changer) sous OQTF, roulant avec assurance (et probablement sans), tous feux éteints, dans une BMW que le paysan lambda ne pourrait pas se payer sans vendre un rein. Un véhicule déjà repéré par la douane en raison de nombreux aller-retour en Andorre : probablement l’attrait de la morue à l’aïoli. 

Résultat : une mère et sa fille décédées, chose éminemment moins grave que le passage de poursuivi à trépas du petit Ange Nahel qui, lui, avait donné lieu à une minute de silence à l’assemblée, honneur qui, avec la hauteur morale d’un mollard régurgité flottant paresseusement dans une fosse septique un lendemain de gastroentérite, leur a été refusé par LFI, les verts et renaissance. Une haute posture morale qui n’a pas empêché ce cénacle d’altruistes d’augmenter les frais de mandats des députés de 305€ par mois nonobstant une vigoureuse abstention indignée de La France Insoumise (à quelque chose d’indéterminé qui n’est pas l’islam) qui les a quand même humblement encaissés, et il était temps, car Mathilde Panot commençait déjà à maigrir, épuisée qu’elle était d’avoir débattu, durant la discussion sur la sacralisation du génocide abortif, quant à savoir s’il fallait ou non remplacer le terme « femme » dans le texte par « toute personne en situation de grossesse » afin de ne pas oublier les hommes enceints qui, eux aussi, ont le droit d’avorter… à coup de dragées Fuca. 

« Liberté, égalité, IVG », bienvenue en république où, pendant qu’on tue 250 000 potentiels contribuables par an et toute leur descendance cumulative, on essaie de compenser en allant chercher ailleurs des d’intellectuels de haut viol en tension, prêts pour les métiers éponymes avec l’attribution, en 2023, d’un nombre record de 323.000 titres de séjour, en ce qui concerne les seules entrées légales. Dans d’autres parties du monde, pas assez versées dans l’humanisme pour savoir apprécier les vertus du suicide collectif, la présidente tanzanienne décrète le renvoi de plus de 250 000 réfugiés et le Pakistan vient de chasser un premier lot de 520 000 Afghans en seulement 3 mois. 

Je pensais que tant qu’à jouer les Ganesh en Inde à coup de narine hypertrophiée, ce qui pourrait expliquer son flair pour toujours se trouver, par pur hasard coïncident, à l’autre bout du monde lorsqu’éclate un mouvement social en France, à être à côté, Macron en aurait profité pour s’enquérir de la formule magique de la remigration réussie, mais distrait par le fait qu’on ne le hue pas, il s’est borné à inviter les Indiens à nous envoyer au moins 30 000 étudiants ; probablement parce qu’en plus de la guéguerre juifs-musulmans et des rixes interethniques africaines à coup de machettes, il nous manque encore la guéguerre musulmans-hindous pour avoir la collection panini complète. 

À sa décharge (qu’il l’émette ou la reçoive) il est vrai que la remigration c’est dégueulasse… en tout cas si on en croit Marine Le Pen, en passe de doubler LFI sur sa gauche en mode GTA, prête qu’elle est à couper les ponts avec l’AFD allemande pour avoir osé envisager cette abomination. Mais n’ayons nulle crainte, elle est encore capable de soutenir un petit génocide sous réserve qu’il soit démocratique et modéré (pas plus de 20 000 Palestiniens par mois), ce qui permet encore de faire la différence avec Jean-Luc Mélenchon qui veut juste créoliser la France et nul doute que si elle arrive à se taire suffisamment pour arriver un jour au pouvoir, elle sera aussi intraitable que son clone peroxydé italien laquelle, sur plusieurs milliards de candidats, n’a autorisé QUE 452 000 entrées légales de rien du tout. 

 Mais bon, même si l’on accueille tous les autres, pas d’inquiétude puisqu’on leur apprendra la Marseillaise et que les enfants qu’ils feront aux femmes pubères non ménopausées, peu douées pour la course à pied, deviendront des Français dans l’âme grâce à des cours d’empathie désormais dispensés dans 1200 écoles, complétés par des « séances d’éducation à la vie affective, relationnelle et sexuelle » avec, pour finalité fort louable, que tels les bonobos qui résolvent ainsi leurs différends, une fois éduqués au progrès, on préfère s’enculer dans un paradis LGBT plutôt que de se quereller. 

Une technique parfaitement maîtrisée par notre Premier ministre, encore frais éclos, qui la propose aux agriculteurs en plusieurs étapettes. D’abord, après des mois d’indifférence médiatique, un mystérieux mécène finance un sondage qui montre que les Français soutiennent le mouvement, sondage qui servira de base pour démoraliser les troupes au fur et à mesure qu’il va fondre. Ensuite, on repère et neutralise les meneurs en les flattant et en les starisant dans les médias tout en promettant beaucoup de bricoles secondaires, rendant confuses les revendications principales, afin de donner l’impression au public qu’ils ont obtenu des choses. Les syndicats, dépassés au début, font alors de la surenchère, style blocus de Paris, pour reprendre la tête du troupeau afin de mieux le trahir le moment venu. Darmanin laisse faire les premières exactions que les médias commencent à monter en épingle. Puis se coagule, au prétexte de la convergence des luttes, toute la chienlit de l’extrême gauche et autre CGT (le « cas Binet », outre d’être malodorant, est révélateur). Une gauche qui ajoute des revendications qui n’ont rien à voir et encore plus de destructions, permettant enfin la répression policière avec l’appui d’une frange de la population, dont la patience est limitée, sur ceux qui n’auront pas encore lâché prise. Rien de nouveau sous le soleil, si ce n’est qu’à force de tirer sur la corde elle se casse et que le ras-le-bol général est tellement énorme qu’il pourrait y avoir de l’imprévu. 

Si les revendications ont l’air confuses, outre le fait qu’elles sont volontairement noyées par les médias, c’est que les agriculteurs, ou tout du moins les parents de ceux qui manifestent aujourd’hui, sont un peu responsables de ce qui leur arrive. En dehors de quelques secteurs particuliers, comme la vigne, qui sont spécialisés depuis longtemps et ont été les premiers à morfler dès les années 70, avec les derniers morts par balle dans des manifestations en France, de ce que j’ai pu observer de mes petits yeux autour de chez moi et plus tard de par mes activités professionnelles, au début était le paysan qui vivait SUR sa ferme : volailles, potager, circuits courts de distribution, troc, échange, polyculture, rotations intelligentes…, puis le rêve américain est arrivé et avec, les sirènes de la finance qui lui ont chanté : « les femmes ne veulent plus vivre les pieds dans la boue. Si tu ne veux pas finir célibataire, comme « L'amour est dans le pré » n’a pas encore été inventé et que Karine Le Marchand est toujours quelque part dans des testicules au Burundi, arrête de te prendre la tête : on te dit quoi planter et quand, on te fournit les intrants qui feront qu’entre les semis et la récolte tu pourras amener madame en vacances et on te garantit les prix ». Au début, ça a marché et ils ont pu construire une maison de type citadin à côté de la ferme, pour madame, avec la Mercedes ou la 504 rutilante garées en bas pour aller acheter les fruits, légumes, volailles et produits laitiers en ville. 

Puis le chimique transformant peu à peu la terre en béton stérile, il leur a fallu des tracteurs de plus en plus gros et toujours plus d’intrants, tandis que le Crédit Agricole leur susurrait de s’endetter pour agrandir afin de conserver leur train de vie. Devenus trop gros pour tout gérer, ils ont confié jusqu’à l’émission des factures à une mafia incestueuse parasitaire regroupant les coopératives et autres organisations professionnelles, les syndicats et l’agroalimentaire, qui, une fois qu’ils ont été bien ferrés, ayant perdu leur autonomie et leurs circuits de distribution traditionnels, bref, une fois qu’ils étaient devenus des agriculteurs, ont commencé à vraiment serrer la vis, se goinfrant toujours plus et les endettant toujours davantage, les privant du moindre contrôle sur leur propre production dont ils découvraient le prix de vente quelques semaines après la livraison quand ils recevaient la facture rédigée pour leur compte par ladite mafia dont la fille est à la coopérative, le fils au syndicat et le père au conseil d’administration de la multinationale quand ce n’est pas la même personne qui fait tout. Bref, ils ont eu la fermière, mais plus le beurre ni l’argent du beurre. 

Après arrive ce qui n’est QUE la cerise sur le gâteau : l’Europe et l’état qui veulent les tuer à petit feu sous les normes et la paperasse, d'abord parce que c'est dans leur ADN et surtout parce qu’ils sont blancs à 99,99% et que tant qu’ils sont là pour rappeler ce qu’est l’essence de la France, Omar SY ne pourra pas jouer Jean de Florette et Netflix ne pourra pas nous vendre que Vercingétorix était aussi noir que Cléopâtre. Les voilà donc réduits à une nouvelle forme de servage, par la dette et leur dépendance aux subventions, sans lesquelles 95% disparaîtraient d’un claquement de doigts, faisant qu’ils ne peuvent même plus revendiquer leur indépendance. Je connais des gens qui sont restés des paysans ou le sont redevenus à temps et qui s’en sortent encore. 

Pour les autres, leur seule chance est de dénoncer clairement la mafia qui les pompe, ce que, pour en faire partie, ne feront pas les syndicats, en tout cas les têtes. Il leur faut également se prémunir de l’infiltration par l’extrême gauche en utilisant l’équivalent de l’ail pour les vampires : des slogans anti-immigration du style « Paysans ou migrants, il faut choisir », seule chose avec laquelle ils ne veulent pas être associés et qui les fait fuir comme un photographe devant Brigitte Macron enceinte ; slogans qui seraient d’autant plus légitimes après le drame récent sur le blocage routier. Et enfin, si l’on veut vraiment une convergence des luttes dans le bon sens, c’est-à-dire, plutôt que d’ouvrir la bouche comme des oisillons dans un nid en espérant que l’état y jette un ver, de scier l’arbre pourri de l’ordre établi qui va, de toute façon, se casser la figure, de sorte qu’il tombe plutôt côté jardin que sur le toit de la maison, quelques drapeaux nationaux et des slogans « l’Europe nous tue » seront toujours les bienvenus. 

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lundi 22 janvier 2024

Il s’est vraiment passé des trucs pas normaux cette semaine (21/01/2024)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/nr5Oi0GeYqI


Bonjour ! 

Après le succès des livres pour enfants : « j’ai 2 papas » et « papa porte une jupe », on pourra désormais envisager le tome 3 : « papa est pédophile » puisque, apportant sa pierre (exceptionnellement pas tombale) à la lutte contre la chute vertigineuse de la natalité, Nordahl Lelandais est l’heureux papa d’un petit garçon conçu en prison, ce qui arrive lorsqu’on sue en prison et que les … mais je m’égare. J’ignore qui est la maman, mais dans un monde médiatique parfait, le jackpot eût été que ce fût la fille de Raquel Garrido et (d’en principe) Alexis Corbières, placée en garde à vue pour avoir déclaré assumer être antisémite et s’en battre les… impossibilités morphologiques (sauf changement de sexe remboursé à 100% par la sécu et payé par la majoration à 1€ de la franchise par boîte de médicament afin de « responsabiliser » ceux qui ont juste un cancer à soigner). 

Le résultat de cette variante de Rosemary’s baby aurait pu ainsi donner naissance à l’antéchrist que certains attendaient avec impatience à la 54e édition du Forum Économique Mondial de Davos, lequel a ciblé la désinformation, forcément antisémite dès qu’on pousse le raisonnement, comme menace principale de l’année 2024. Si j’ai bien tout compris, nous vivons donc dans un monde où le complotisme proprépuce est plus grave que la pédophilie. Si quelqu’un s’assume pédophile, même s’il a un poster de Cohn Bendit accroché au mur (preuve qu’au moins, il n’est pas antisémite), tant qu’il n’a pas commis un acte ou détenu et partagé du contenu pédophile, on sera certes fondé à ne pas le laisser tourner autour de Gabriel Attal, mais il n’enfreint aucune loi. Quelqu’un qui s’assume cannibale, tant qu’il n’a pas fait rôtir Gérard Larcher avec des aromates bio, ne risque absolument rien et son taux de cholestérol non plus. Quelqu’un qui s’assume séropositif, tant qu’il ne transmet pas sciemment sa maladie en la cachant, ne peut pas davantage être inquiété et c’est normal. En revanche, quelqu’un qui s’assume antisémite, même s’il n’a commis aucun acte antisémite ou même appelé à en commettre, peut, apparemment, être placé en garde à vue. CQFD. 

Personnellement, mes détestations se limitent aux petits pois, ce qui libère la police pour d’autres tâches moins prioritaires qui ne mettent pas en danger la république comme : les 3000 meurtres annuels et les 1000 agressions quotidiennes (dont entre 100 et 200 à l’arme oppressivement blanche) qui donnent un « sentiment » d’insécurité à quelques étroits d’esprit d’ultradroite qui chipotent sur des nuances subtiles comme « être ouvert à l’autre » versus « être ouvert par l’autre ». Quand le criminel est carencé en mélanine, le landau de Lelandais choque, et sur le plateau de Touche Pas à Mon truc en P, on clame tranquillement qu’il ne devrait pas avoir le droit de transmettre ses gènes, soit, mais pourquoi les mêmes, quand certains, au bout de X générations de présence sur le territoire, se comportent toujours comme des racailles, montent-ils dans les aigus si des nazis en puissance évoquent l’idée nauséabonde qu’il y a peut-être, à la base, dans certains cas, là aussi, une incompatibilité génétique avec notre mode de vie, incompatibilité susceptible de refaire surface, y compris, parfois, dans la progéniture de ceux, car il y en a, qui se comportent bien. 

Cela dit, nos sociétés n’ont pas besoin d’apport extérieur pour sombrer d’elles-mêmes dans l’idiocratie au point d’avoir nommé au désormais « gay » d’Orsay un syntaxophobe uniglotte, qui n’a visiblement pas assez « séjourné » sur les bancs de l’école, ou encore avec une ministre, accessoirement de l’éducation, qui n’a pas eu que de bonnes notes ou des A. Caste, erratique à elle seule tant elle représente l’archétype de cette branche dévoyée du catholicisme friqué qui préfère le lointain au prochain (avec l’argent des autres), mais s’assure que ledit lointain le reste pour sa progéniture, mise à l’abri dans une école privée. Ministre qui, de surcroît, frise les 1/10 en mensonge acrobatique sur l’échelle internationale de Véran. Dès lors, certains nostalgiques des heures à faible consommation énergétique pourraient être tentés de se dire que, nonobstant une fixette critiquable sur des histoires de courbure de nez, faute de tigres à dents de sabre cis hétéros pour assurer la sélection naturelle, contrairement à Élisabeth Borne, l’idée d’eugénisme a peut-être été mise de côté un peu vite, surtout quand on voit la gueule des tenues officielles des JO supposées célébrer (dixit leur créateur) « le métissage », lequel remplace donc officiellement la fraternité dans le triptyque républicain et se voit appliqué aux couleurs du drapeau national dans une vague évocation de couche Pampers décolorée par un incontinent urinaire non genré après abus de Budweiser. 

Toutes ces circonvolutions pour, au final, tenter hypocritement de quand même compenser ladite dégénérescence génétique (laquelle se traduit par des femmes faisant littéralement « la queue » - et réciproquement - pour se faire engrosser par un pédophile) avec des béquilles technologiques et autres implants d’homme soi-disant « augmenté » ; en d’autres termes le « trans » humanisme ce qui, par les temps qui courent, peut prêter à confusion, quoi que…. 

Le souci n’est pas tant d’augmenter la quantité que la qualité, sinon où serait la nécessité du « réarmement démographique » décrété par Emmanuel Macron et qui inquiète tant les féministes 2.0 plus préoccupées de ce qui entre dans leur utérus que de ce qui en sort, à l’image de celle qui a laissé se démerder seul, pendant deux ans, dans un appartement sans électricité ni nourriture, le représentant du patriarcat toxique âgé de 7 ans qu’elle avait enfanté, tandis qu’elle explorait les joies du saphisme chez sa nouvelle copine. Pas en reste, Sandrine Rousseau, quand elle ne joue pas les SDF avant d’aller se sustenter dans une brasserie cossue du 7e arrondissement, refuse que l’on prenne son utérus en otage, mais même le Hamas a une éthique. Il est vrai que pour une gauchiste, certes le nombre des naissances n'a pas été aussi bas depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, mais, du moment que, grâce à l’importation massive d’ingénieurs nucléaires et d’agrégés de lettres classiques à flottabilité modérée, la population a augmenté de 0.3% par rapport à l'an dernier pour culminer à 68,4 millions de « Français » début 2024, il n’y a pas de problème. Sans compter un nombre indéterminé car indéterminable d’enrichisseurs culturels illégaux, mais qui ont quand même des droits qu’ont défendus ce dimanche quelques abr… grands humanistes, mais petits payeurs. 

Qu’importe, insensible aux cris du migrant qui hurle dans la nuit froide, notre grand timonier, qui sans avoir enfanté est un « perroquet », dans un réflexe eugéniste nauséabond, annonce vouloir booster la natalité… en inscrivant l’avortement dans la constitution et en faisant passer le congé parental de 3 ans à 6 mois. Au cas où ce ne serait pas encore suffisant, il a même démarré une croisade contre le « fléau » de l’infertilité inexplicable de certains couples, notamment homosexuels, ce qui se traduira, n’en doutons pas, par des aides à la PMA, GPA et autres joyeusetés. 

Au cours d’une opération d’enfumage (diffusée façon Kim Jong-un sur toutes les chaînes et que quasiment personne n’a regardée) consistant à laisser quelques journalistes pas au chômage poser des questions (dont partie avait été communiquée à l’avance par SMS) sans aucun droit de relance à un Macron qui pouvait répondre n’importe quoi sans être contredit et en jouant les omniscients, on a quand même appris que les émeutes de l’été dernier étaient le résultat de trop d’oisiveté, Kevin et Matéo, outre le fait de ne pas connaître la Marseillaise par cœur, n’ayant pas eu cours de théâtre et cours tout court en mai et en juin. On n’avait plus atteint ce niveau de foutage de gueule depuis la largeur des trottoirs pour expliquer pourquoi, dans la rue, une femme en minijupe a l’espérance de vie d’Alain Delon en cas de huitième dose et pourquoi le sexe faible, d’une manière générale, s’y fait de plus en plus agresser par des gens qui n’ont même pas la courtoisie d’avoir le phénotype de Gérard Depardieu pour que les féministes puissent les dénoncer. 

Dans cet univers parallèle Macronien, pas un mot et aucune question sur l’agonie de nos agriculteurs qui, à l’instar de leurs homologues allemands, commencent, telle Mathilde Panot congelée sous une tente de SDF, à durcir le « ton », avec des barrages un peu partout, des radars détruits et même un bâtiment de la dréal explosé façon fondement pas assez dilaté, ce qui a amené un Attal, soudainement réceptif, à émettre l’idée révolutionnaire que lesdits agriculteurs « devraient pouvoir vivre de leur travail ». Mais ce n’est pas ce qui inquiète notre ielaperruquophile, focalisé sur l’Ukraine, avec laquelle il a annoncé la signature d’un accord de garantie de sécurité et, outre 78 Caesar, la livraison de 40 missiles et bombes SCALP à longue portée supplémentaires. Autant les lancer directement sur la Russie, comme ce dimanche sur un marché à Donetsk, cela fera gagner du temps. 

On sent que si Poutine ne se dépêche pas d’envoyer un missile supersonique dans la piscine du Fort de Brégançon en guise d’avertissement, la prochaine étape sera d’expédier de la chair à canon française en remplacement de l’ukrainienne laquelle, contrairement aux chromosomes Y à l’Élysée, commence à se faire rare. C’est en tout cas ce que j’ai compris quand il a déclaré : « Nous aurons très clairement, nous Français et nous Européens, à prendre des décisions nouvelles, dans les semaines et les mois qui viennent, précisément pour ne pas laisser la Russie gagner ». Surtout si l’on considère qu’après la Suède, c’est désormais l’Allemagne qui demande à ses citoyens de se préparer à l’éventualité d’une guerre contre ladite Russie, guerre qui est l'issue traditionnelle des oligarques et de leurs caniches pour ne pas finir au bout d’une pique devant l’échec de leur dystopie à base d’éoliennes, de drapeaux arc-en-ciel, de piqûres magiques et de farine d’insectes. On annonce d’ailleurs, prochainement, de grandes manœuvres inédites de l’OTAN avec le déploiement de plus de 90000 hommes, 50 navires et 80 avions.

Leur seconde option pour éviter de perdre 30 cm au-dessus des épaules étant l’activation de l’hypothétique Virus X, également discuté à Davos, et qui vient de devenir réalité depuis que des chercheurs chinois ont testé sur des souris « humanisées » (à l’aide de tout petits pénis, on suppose) une variante du coronavirus issue d’un pangolin (et transmissible à l’homme) avec un taux de décès de 100%. C’était bien la peine de faire tous ces efforts pour empêcher les vaches de péter. Dire qu’on va tous crever juste au moment où Trump venait d’exploser tous les compteurs en Iowa faisant que, sauf une Kennedy, on ne pourra l’empêcher de gagner les primaires et que l’on vient de découvrir que Titan, la lune de Saturne, possède pas moins de 40 fois plus d'hydrocarbures que la Terre tout entière. Donc, soit les complotistes, tenants du pétrole abiotique (qui serait alors présent en beaucoup plus grande quantité que ce que l’on nous raconte) ont, encore une fois, raison, soit le pétrole est bien une énergie fossile, les dinosaures étaient très intelligents et, plus fort que les Américains, toujours infoutus, après des décennies d’innovations technologiques, de renvoyer un vol habité sur la lune, ont tous déménagé sur Saturne il y a 66 millions d'années plus quelques jours pour les bissextiles. 

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