Ce blog est parfois au second degré, merci de ne pas tout prendre littéralement et d'en tenir compte si vous devez laisser des commentaires.

mardi 31 décembre 2013

Abstention ou FN?


2014 promet d'être terrible. Hollande, sachant que ses jours sont comptés, va pouvoir sans retenue accélérer encore la cadence et faire le boulot pour lequel on l'a mis là (et quand je dis "on", je ne parle pas des électeurs). 

La colère gronde et beaucoup de gens à force de tuer tout ce qui bouge dans des jeux vidéos, dont les vertus exutoires s'émoussent, finissent par se sentir dangereusement frustrés par le côté virtuel. La seule chose qui empêchera peut-être que la tête de cette caricature de président finisse au bout d'une pique, c'est l'existence du FN qui laisse croire à un dernier espoir de salut par la voie des urnes.

Personnellement je ne me fais guère d'illusions et quand je vois certaines concessions faites par Marine au système sous peine, il est vrai, d'exclusion des médias, je crains fort qu'elle ne fasse guère mieux que les autres et qu'au bout du compte, ce soit sa tête à elle qui finisse au bout d'une pique, car lorsque l'on accepte le lourd fardeau d'être le dernier espoir de tout un peuple, il n'y a plus de place pour la trahison et le prix de l'échec est généralement la mort.

Mais bon, le FN existe, et même si son rôle pourrait fort bien se limiter à prolonger de quelques années un système "électoral" et "démocratique" garantissant le saint paiement des intérêts de la dette à l'oligarchie financière, il se pourrait aussi que, pour une fois, des politiques fassent passer l'intérêt de la France avant le leur. Allez, les gars, on y croit!

Pour ma part je serais beaucoup plus convaincu de l'abnégation de Marine Le Pen si elle se contentait de briguer un rôle de premier ministre qui lui irait à la perfection et se mettait en retrait au profit de Marion Maréchal qui est la parfaite image dont la France a besoin pour rayonner dans le Monde : jeunesse, intelligence, pondération, intégrité, énergie, patriotisme, humanité, vision politique, détermination, courage  avec en prime, beauté et sourire, ce qui ne gâte rien. Grâce à elle, la France ferait à nouveau rêver. Marianne ne serait plus un symbole, avili sous les traits d'une femen ukrainienne dont il faut lécher le cul chaque fois qu'on colle un timbre, mais se retrouverait incarnée dans toute sa force à la tête d'un pays renaissant de ses cendres. On a besoin de Marianne, on a besoin de Marion.

Bien sûr, c'est mon opinion et ça n'engage que moi. Dans tous les cas, tant que "l'espoir FN" existe, il se trouvera trop de gens pour voter pour lui pour que l'abstention ne serve à autre chose qu'à maintenir au pouvoir les tenants d'un système qui se foutent bien de n'être élus qu'avec la majorité des 10%  qui auront voté.

La seule chose logique à faire est donc, à mon sens, de s'abstenir de s'abstenir et de voter massivement FN.

Bonne année à tous.

lundi 30 décembre 2013

Pourquoi la quenelle n'est pas antisémite

Une fois n'est pas coutume, je vais faire un peu de pédagogie et je vais rester sérieux.

D'abord, il convient de rappeler que selon une étude récente que l'on peut trouver ici sur le site de la Cornell University, réalisée par Eran Israeli-Elhaik en août 2012 sur la base de prélèvements ADN sur un échantillon représentatif de 1287 individus, selon la même méthode que celle utilisée pour déterminer l'origine du peuple basque, l'écrasante majorité des juifs n'est pas sémite (contrairement, probablement, à de nombreux palestiniens et à une partie conséquente du monde arabe). Ce terme "antisémite" appliqué aux juifs est donc, au mieux, un abus de langage, au pire une escroquerie servant à justifier, notamment, l'appropriation d'un pays sensé être la "terre des ancêtres" par des gens issus majoritairement du Caucase.

On est même fondés à se demander si le fameux "peuple élu" (à bulletins secrets) existe toujours ailleurs que dans la simple conviction plus ou moins religieuse de ses membres. Contrairement à une personne de couleur laquelle (sauf à s'appeler Michael Jackson) n'a pas le choix de son identité, un juif peut simplement décider qu'il ne l'est plus. "L'antisémitisme" et le racisme n'ont donc strictement rien à voir et leur juxtaposition dans une même phrase n'est rien d'autre qu'une arnaque (cherchez les gens de couleurs dans les organigrammes respectifs de la LICRA et du MRAP...).

Ceci étant dit, si la quenelle n'est pas "antisémite", pourquoi alors des gens comme Soral en glissent-ils dans des lieux commémorant la "Shoah" (terme récent utilisé dans cette acception seulement depuis le film éponyme de 1985)?  Ce n'est pas pour critiquer la Shoah elle-même, mais bien le petit business qui tourne autour et l'utilisation odieuse qui en est faite constamment par certains "juifs" pour s'exonérer de toute critique, systématiquement requalifiée en antisémitisme. Certains, se considérant probablement malchanceux de ne pas avoir eu cette "chance", n'hésitent même plus à s'inventer un grand-père mort à Auschwitz pour faire bonne mesure.

Le procédé est utilisé de manière industrielle par l'état d’Israël, dernier pays au monde pratiquant l'apartheid (et fidèle soutien jusqu'au bout de l'Afrique du Sud quand elle faisait de même). Outre le petit génocide qu'il mène tranquillement à terme vis-à-vis des habitants légitimes du pays (en remplaçant, dans un sursaut d'humanité, les fours par du phosphore blanc) cette impunité mémorielle lui a permis de jouer les coucous dans les cercles de pouvoir, financiers et les médias de nombreux pays dont le nôtre.

La chose est dramatique quand les intérêts d'Israël et de la France (notamment en Afrique et au Moyen-Orient) divergent, voire sont contradictoires. On comprend mieux dès-lors pour quoi Sarkozy et BHL (deux bretons) ont déstabilisé toute l'Afrique et fait haïr la France en démolissant la Libye, pays au niveau de vie le plus élevé d'Afrique et qui désormais crève de faim, on comprend mieux aussi la politique de Fabius (un auvergnat) en Syrie et ses tentatives ridicules de faire échouer les négociations avec l'Iran, on comprend mieux enfin l'obsession d'un ministre de l'intérieur qui a déclaré "Je suis, par ma femme, indissociablement lié à Israël, quand même!", pour la quenelle de Dieudonné au lieu de s'occuper de la délinquance et des problèmes qui concernent la France.

Ceux qui auront pris la peine d'assister à un spectacle de Dieudonné comprendront également que, quoi qu'en dise une justice partisane aux allégeances idéologiques sectaires et qui a perdu toute crédibilité depuis le "mur des cons", il ne dénonce rien d'autre que cet odieux chantage "victimaire" et la dictature rampante qui se met peu à peu en place dans notre pays (uniformité de la presse, discours similaires à droite et à gauche, arrestations arbitraires, délits d'opinion et censure...)

La quenelle est un symbole anti-système, comme l'était le slogan de Coluche :TOUS ENSEMBLE POUR LEUR FOUTRE AU CUL! C'est exactement la même chose, avec le geste en prime. Attention! Dieudo, tu fais un peu trop de moto ces temps-ci

vendredi 27 décembre 2013

Le grand-père de Dieudonné était Waffen SS


Salut à tous et tous mes vœux.
Après plus d'un an dans la naphtaline, je réactive ce blog car la connerie ambiante a atteint de telles proportions que, malgré mes bonnes résolutions, me taire plus longtemps m'exposerait à une crise aiguë d’hémorroïdes. La transition est toute trouvée, donc, pour aborder le sujet du jour : la quenelle.

Il s'agirait d'un salut nazi inversé. Ce qui revient en gros à dire que se gratter le cul revient à se gratter la tête à l'envers. Le pire c'est que ce n'est peut-être pas faux si l'on considère que beaucoup de gens semblent avoir davantage d'idées en se grattant les fesses qu'en massant leur lobe temporal. 

J'ai relu "Mein Kampf"  3 fois et je maintiens que la simple idée d'un nazi noir est aussi absurde que la perspective d'une baisse d'impôt sous un gouvernement socialiste.

Comme je suis quelqu’un d'ouvert, j'ai quand même essayé d'imaginer un scénario qui rendrait la chose possible, et à ma grande surprise, j'ai trouvé. 

Comme nous l'a rappelé l'affaire Taubira : avant la colonisation, les noirs vivaient essentiellement dans les arbres, s’empiffrant de bananes en s'épouillant les uns les autres. Je suis hélas obligé de casser l'effet comique en précisant, à l'intention du nombre croissant d'hominidés trépanés par la télé et qui prennent tout au pied de la lettre que c'est du second degré et qu'à ma connaissance, le seul homme en Afrique qui ait jamais vécu dans les arbres, au milieu des singes, il s'appelait Tarzan et il était blanc.

Comme le reconnait lui-même Dieudonné, il a un nom qui rebondit : mbala mbala. Mais d'où vient ce nom? On peut tout à fait imaginer que son grand-père soit tombé d'un bananier en essayant d'attraper une banane et qu'au lieu de s'écraser sur le sol, il se soit mis à rebondir : mbala, mbala, mbala... Deux explorateurs allemands qui passaient par là, amusés par le phénomène décidèrent de l'amener sur le continent. Après moult aventures qu'il serait trop long de narrer dans ce billet, le fameux grand-père se retrouve mascotte d'un régiment de Waffen SS et on ne doit qu'à la sagacité des agents du CRIF et de la LICRA de l'avoir repéré sur les photos d'époque. Il faut dire aussi qu'un pygmée noir d'un mètre trente qui bouffe une banane au premier rang devant 80 types d'un mètre quatre-vingt, blonds aux yeux bleus c'était pas trop difficile à trouver.

Autant dire que quand Hitler l'a repéré, il a fait la grimace et puis, soudain, quelque chose l'a intrigué. Le petit homme bouffait des bananes, les portant à sa bouche en les remontant le long du bras opposé lequel restait tendu vers le bas:. un coup à droite, un coup à gauche, de manière souple. Bizarrement l'idée lui plût mais il trouvait que le bras pendouillant vers le bas ce n'était pas assez viril. Pris d'une soudaine illumination il leva son bras en l'air avec une telle violence qu'il se déboita l'épaule et poussa un énorme "AÏE!". Tous les cons en face qui n'avaient rien compris l'imitèrent comme un seul homme en criant "HEIL!". 

La vérité est donc plus horrible encore que tout ce qu'on a pu imaginer: la quenelle n'est pas un salut nazi inversé, c'est le salut nazi qui est une quenelle inversée et c'est la faute à Dieudonné. 

Si la chose s'était arrêtée là, on pourrait peut-être lui pardonner mais la suite est carrément nauséabonde. A force de bouffer des bananes, le grand-père de Dieudonné s'est mis à lâcher des gaz faisant s'écrouler d'un coup 2 rangées de Waffen SS. Hitler se dit alors "Des gaz? Mais oui, bien sûr..." On connait la suite. 
Pour l’anecdote, ce même jour Hitler réfléchissait justement à un drapeau pour symboliser le nazisme et pour la croix du milieu il hésitait encore entre le fuchsia et le vert pistache mais on ne sait pas pourquoi, il opta pour le noir.

Comme il faut quand même un happy-end, la légende raconte que, pour alimenter le bonhomme en bananes, on a carrément réquisitionné un train qu'on a vidé des juifs qu'on venait de charger dedans à la fourche et que les pauvres bougres, profitant de l'aubaine, on pu s'échapper et se cacher au fond de caves dans la région parisienne. Ils étaient si bien planqués qu'ils étaient toujours là plusieurs années après la guerre et on ne les a trouvés qu'après avoir construit au dessus d'eux les locaux de l'ancienne ORTF. Comme ils étaient déjà là, on n'a pas osé les mettre dehors. C'est certainement une histoire vraie car sinon comment expliquer qu'en ne représentant que moins d'un pour cent de la population, ils soient très largement majoritaires dans les médias, ces mêmes médias qui fustigent l'abominable Dieudonné et nous prennent pour des cons?