Ce blog est parfois au second degré, merci de ne pas tout prendre littéralement et d'en tenir compte si vous devez laisser des commentaires.

samedi 5 septembre 2015

Migrants ou envahisseurs ?


La seule différence c’est que les uns ont des fusils, les autres pas, mais au bout du compte le résultat est le même. Avis aux cons qui les accueillent avec des couvertures. Le glissement sémantique orchestré : "clandestins > sans papiers > migrants > réfugiés" pour désigner la même chose prouve, s’il en était encore besoin, à quel point les médias sont pourris et travaillent à notre destruction en tant que peuple. Le sentiment d’appartenance audit peuple pouvant générer des solidarités et des résistances incompatibles avec le mondialisme et ses délires "droit-de-l’hommistes" et universalistes qui sont l’arbre qui cache la forêt d’un capitalisme féroce et sans éthique qui se fout de tuer des millions d’enfants partout dans le monde au nom de la liberté pourvu que ça rapporte.

A cet égard, la photo du gamin échoué sur la plage afin de nous forcer, par l’émotion et la culpabilité, à accepter encore plus d’envahisseurs est particulièrement dégueulasse et pue la manipulation médiatique :
  • Il n’y a personne autour du macchabée (mise en scène ?).
  • Quand quelqu’un se noie en mer, il coule et ne remonte à la surface qu’au bout de plusieurs jours passablement boursoufflé, étape qu’a sautée apparemment le malheureux gamin.
  • Ce dernier a été enterré dans son pays d’origine, pourtant quitté à cause des persécutions. Un peu comme si les juifs étaient retournés en Allemagne nazie en 1940 pour enterrer leurs morts. Il s’agit là d’une forme de persécution particulièrement tolérante.
  • Dans la seconde on connaissait son pédigrée complet.
  • Je pourrais continuer longtemps, mais le seul fait de savoir BHL à la manœuvre suffit à comprendre empiriquement (Kosovo, Libye, Syrie, Ukraine…) qu’on est en train de se faire entuber. Sans compter qu’on ne l’a pas trop entendu sur les photos du même acabit d’enfants palestiniens transformés en Rubik’s cubes sur les plages de Gaza.
Les Hongrois, si critiqués par Catherine Deneuve, laquelle n’a pas pour autant proposé de mettre à la disposition des gentils migrants-envahisseurs quelques-uns de ses biens immobiliers, les Hongrois, donc, ont raison. Leur seule erreur a été de ne pas aller jusqu’au bout de la logique et d’électrifier la clôture.

J’entends déjà bêler les moutons prêts au suicide collectif au nom de la solidarité humaine à sens unique : "mais il y aurait des morts !!!" Et alors ? Il faudrait même les accueillir avec des mitraillettes. Avant de dire que c’est inhumain, il suffit de penser qu’en tuer quelques centaines leur ferait comprendre qu’entre risquer de mourir chez eux (pour ceux, pas la majorité, qui sont vraiment en danger) et être sûrs de mourir chez nous, il vaut mieux rester chez eux. Le problème serait réglé en une semaine et, compte tenu de toutes ces morts évitées dans les naufrages et autres camions, au final on aurait sauvé des vies. Et oui, c’est la charité chrétienne qui tue, là où un raisonnement froid mais cohérent épargnerait des vies et des souffrances.

C’est un peu comme dans un avion. Quand les masques à oxygène tombent, il faut suivre les consignes et mettre d’abord le sien avant de s’occuper de l’enfant qui est à côté, car sinon, si on perd connaissance pendant l’opération, on meurt tous les deux alors que, dans le premier cas, on peut sauver l’enfant. Je n’ai rien contre aider les migrants, mais il faut d’abord se mettre en sécurité, c’est-à-dire s’occuper de nous, sinon on va tous crever. C’est du bon sens élémentaire.

Mais bon, grâce à la télé, la culpabilisation permanente sur les colonies et la Shoah et notre "éducation nationale" qui aurait mieux fait de rester "instruction publique" nous voilà éduqués à renier Descartes et à n’être plus que des roseaux ressentants à défaut de pensants.

Même le FN se ramollit en cédant au système au moment où les évènements lui donnent raison et en sacrifiant la liberté d’opinion d’un Jean-Marie Le Pen sur l’autel de la bien-pensance judéo LGBT maçonnique, arme de prédilection de l’oligarchie mondialiste pour détruire les nations par leurs racines. On nous oblige désormais à choisir un camp, même si on n’en a rien à f…. On est soit sioniste ("l’avant-garde de la République" selon Manuel Valls), soit antisémite puisque toujours selon Manuel Valls, "l’antisionisme est la nouvelle forme de l’antisémitisme" ; soit "pro LGBT", soit homophobe ; soit heureux d’accueillir des millions d’envahisseurs, soit raciste ou xénophobe…

Pendant ce temps, le président saute des actrices, le premier ministre assiste à des matchs de foot en famille aux frais de la princesse, le chômage augmente, l’insécurité explose, la liberté d’expression n’existe quasiment plus et les PAYSans, comme le PAYS tout court, dont ils sont l’émanation et le symbole, crèvent la gueule ouverte laissant, pour le futur, le "champ" libre au merdes transgéniques américaines qui vont venir, à crédit, remplir nos assiettes grâce aux accords de libre échange qui sont passés dans notre dos. 

Alors franchement, un enfant sur une plage…

samedi 27 juin 2015

Islam : les gremlins sont parmi nous.


Il faut arrêter de se voiler la face. Eux au propre et nous au figuré. L’Islam n’est pas compatible avec notre civilisation et son expansion dans un pays ne peut avoir pour conséquences que la charia qu’il porte dans ses gènes ou un régime dictatorial capable de le contenir. Si quelqu’un connaît un exemple qui fonctionne de cet oxymore que serait un Islam démocratique, je suis tout ouïe.

Les musulmans, c’est comme les Gremlins : les gentils c’est juste des méchants qui n’ont pas encore été nourris après minuit (et en période de Ramadan ça devient rare). Le gentil musulman c’est juste un musulman qui ne se sent pas encore en nombre suffisant pour nous imposer son mode de vie et qui applique les préceptes (la taqiyya) de sa religion qui lui demande, tant qu’il est en état d’infériorité, d’être aimable en façade et de feindre sa soumission aux lois des infidèles tout en leur conservant son animosité.

Le "Padamalgam" suinte des bouches de ces traîtres suicidaires prétendument de gôooche ou "républicains" à la moindre petite décapitation, fauchage de piétons et autres poignardages.  On nous parle de loup solitaire. Le djihadisme donne l’impression de s’attraper comme une mauvaise grippe, comme un virus informatique devenant soudainement transmissible au Charlie crétinisé.

Tout pour nous faire oublier le lien entre le Mogwai et le Gremlin. Pour masquer l’évidence qu’ils sont les deux faces de la même pièce. Les attentats ne sont pas djihadistes, ils sont musulmans. Rien de ce que font ces fanatiques n'est proscrit par l'Islam, tout y est prescrit, l'Islam de la Mecque servant d'écran de fumée à celui de Médine.

A cause de nos politiques qui confondent la France et la République et des associations comme SOS racisme pilotées en sous-main par d’autres fanatiques religieux d’une autre nature, être Français ne veut plus rien dire.

Pour que cela ait à nouveau un sens, la logique voudrait de :
  1. Supprimer toutes les lois qui poussent au suicide collectif en muselant l’expression (Gayssot, Pleven…) et dissoudre toutes les associations communautaires.
  2. Arrêter l’immigration et toute assistance aux immigrés.
  3. Supprimer le droit du sol
  4. Expulser TOUS les doubles nationaux
  5. Interdire l’ISLAM et déchoir de la nationalité tout Français (même "de souche") converti.
  6. Revoir rétroactivement toutes les naturalisations depuis 30 ans en fonction de critères précis

Malheureusement aucun politique, FN compris, n’osera aller jusque-là au nom d’un sentiment humain universel qui n’est pourtant qu’une autre face du capitalisme sauvage et de la mondialisation sans limite. Il faut arrêter de traiter comme des êtres humains ceux qui nous traitent comme de la viande ou des vaches à lait. Sinon on va crever et 1500 ans de civilisation avec nous.

Lorsqu’on se laisse éradiquer dans le seul but de respecter scrupuleusement et unilatéralement un "aimez-vous les uns les autres" mal compris et manipulé censé nous gagner le paradis, on ne vaut pas mieux, au final, que les fanatiques d’un des camps d’en face (il y en a plusieurs) qui meurent et nous tuent en gueulant "Allah akbar".

jeudi 18 juin 2015

Afrique un continent incontinent (de sa population)

source image : http://lewebpedagogique.com/lapasserelle/files/2014/11/Burki240211.jpg
Selon Wikipédia, l'Afrique, un continent qui comptait 230 millions d'habitants en 1950 et qui a dépassé le cap du milliard d'habitants en 2010, pourrait atteindre 2 milliards en 2050 et 4 milliards en 2100. Ces chiffres n’incluent bien évidemment pas les africains installés ailleurs dans le monde et qui, pour la plupart, continuent à vivre et se reproduire entre eux.

Cette explosion démographique est due, notamment, au fait qu’au lieu de leur laisser leur forte mortalité infantile, laquelle était compensée par un taux de natalité élevé qui maintenait naturellement les populations à un niveau quasi constant, nous sommes venus avec nos bons sentiments à la c… leur apporter, entre autres calamités, notre médecine moderne provoquant surpopulation, guerres, famines…  semant, de fait, le malheur et la mort chez un nombre d’enfants bien plus grand, en valeur absolue, que dans la situation antérieure.

Désormais ces « migrants » tels que la presse a décidé de les qualifier, comme s’il s’agissait d’une nuée d’oiseaux ou plutôt de sauterelles, menace de déferler sur une Europe dont la population a déjà été remplacée dans des proportions inquiétantes. Et, encore une fois, pétris de bons sentiments, au nom de cette humanité qui, pourtant, n’a jamais rien fait d’autre que de s’entretuer depuis qu’elle s’est installée en haut de la chaine alimentaire, on nous somme de leur venir en aide et d’en accueillir toujours davantage.

« Ce sont des êtres humains », nous dit-on. Et alors ? Des êtres humains, il en meurt tous les jours. D’ailleurs, tant qu’ils meurent chez eux tout le monde s’en fout, mais les hypocrites (lesquels, pour autant, ne sont pas disposés à en accueillir chez eux, préférant que la société supporte le coût de leurs bons sentiments) se sentent mal à l’aise quand la chose se passe sous leurs yeux.

Les mêmes qui nous font bouffer leur laïcité à longueur de journée n’hésitent pas à tirer sur la corde de cette charité chrétienne mal comprise qui nous pousse au suicide collectif. La planète est surpeuplée, et des milliards d’individus vont en crever ; on ne peut rien y faire car la nature reprend toujours ses droits. La seule chose que nous pouvons faire c’est décider qui doit survivre et, dans cette optique, « eux ET nous » n’est pas une option ; c’est « eux OU nous ». Un peuple de vieux, lobotomisé au « droits-de-l’hommisme » qui croit que combattre c’est mettre un bulletin FN dans une urne ou défiler derrière une banderole CGT, contre une marée humaine jeune dont les cultures poussent plus aux décapitations islamiques et au maniement de la machette qu’à tendre l’autre joue. On ne part pas forcément favoris.

Notre seule chance de survie c’est de contrôler nos frontières et d’être aussi impitoyables qu’eux. Il faut comprendre qu’aimer son prochain n’implique pas d’aimer son lointain et il faut surtout cesser de les regarder, un par un, comme des individus. Il faut prendre conscience de la menace collective qu’ils représentent et la traiter comme une infestation, ce que ne feront jamais nos politiques, le nouvel FN bien lisse inclus. Ils savent que la fin du « padamalgam » ou le tarissement du robinet des prestations sociales signifieraient un bain de sang. Mais les pressions démographiques sont telles que ce bain de sang aura lieu tôt ou tard, d’autant plus violent qu’on aura nié longtemps le problème. Dès lors, ne vaudrait-il pas mieux que cela arrive le plus tôt possible, tant que nous avons encore une petite chance de gagner?

Mais tout cela sera vain si nous ne parvenons pas à nous débarrasser de cette chimère de la croissance et du venin de l'ultra capitalisme mondialisé qui poussent à l'obsession  démographique et empêchent d'admettre l'évidence qu'on vivrait très bien dans une France de 30 ou 40 millions d'individus.

mardi 5 mai 2015

Tu quoque mia filia !



L’exclusion de Jean-Marie Le Pen, prend pour prétexte trois aspects de ses déclarations qui lèvent des questions de fond auxquelles le FN ne peut répondre sans perdre une partie de son électorat. Pour autant, s’il n’y répond pas, il risque d’en perdre encore davantage.

Le premier point concerne la retraite à 60 ans, le volet social et étatiste qui rebutent tous ceux qui, comme Jean-Marie Le Pen, sont encore englués dans un schéma droite-gauche dépassé et refusent tout pragmatisme en matière économique. Or, si le nouveau FN, et c’est là sa seule avancée positive, a développé de la sorte son volet social, ce n’est pas par idéologie ou par humanisme, mais simplement parce que, sans pouvoir d’achat, l’économie coule et que, sans contrôle de l’État, les grosses entreprises jouent contre l’intérêt national au profit de leurs actionnaires. Pareil pour la retraite, qui, si on la poussait à 100 ans demain, loin de résoudre quoi que ce soit, ferait simplement que l’on paierait de vieux chômeurs à la place de vieux retraités.

Le deuxième aspect qui a été relevé concerne la négation de la république version maçonnique (on est loin d’Athènes) en tant que système de gouvernement sacré et indépassable. Lorsque l’on sait (merci Marion Sigaut) que ladite république prétendument issue de 1789 trouve ses sources en Angleterre et est à la base de l’idéologie du capitalisme mondial qui, déjà, maquillait derrière des discours populistes la volonté de casser toutes les protections sociales de l’époque (garantie du prix du grain, congrégations professionnelles, éducation gratuite par l’église…) pour mettre en place la spéculation sur les produits alimentaires, le travail des enfants dès cinq ans, la fin de toute protection sociale etc. on peut comprendre que tout le monde ne soit pas inconditionnellement républicain.
Entre patriote et républicain, le FN doit choisir ses priorités. Tous les républicains ne sont pas patriotes, loin s’en faut et beaucoup de patriotes ne sont pas républicains. De mon point de vue, c’est de patriotes dont la France a besoin et en exclure certains au prétexte qu’ils seraient royalistes, communistes, anarchistes, pétainistes ou même fascistes revient à se priver de combattants acharnés prêts à donner leur vie pour une juste cause, commune qui plus est.

Enfin, pour franchir encore une étape dans l’échelle de ces tabous que nul n’a le droit de transgresser dans notre beau pays qui met rarement en pratique les concepts qu’il défend, le FN va devoir s’expliquer quant à sa position sur la religion de la Shoah et le fait qu’une élite juive s’arroge le droit de décréter ce qu’il est licite de dire ou de penser, le droit de décréter ce qui est drôle non, quels sont les gentils et les méchants, ce qui est sacré ou ne l’est pas. Quand, il y a seulement quelques jours, Elkabbach, lequel n’est pas spécialement auvergnat, intime quasiment l’ordre à Marine Le Pen d’aller visiter un camp de concentration ou de s’infliger le film de neuf heures « Shoah » ; là où Jean-Marie Le Pen aurait, en substance, répondu que sa Shoah il pouvait se la carrer dans son trou de balle, Marine se contente de ramper comme une serpillière et de dire « peut-être que j’irai !». La pauvre n’a toujours pas compris qu’il n’y a aucune limite à la soumission qu’on lui demande en échange de l’accès aux médias et que, même si elle coupe son père un petits morceaux avant de le donner aux cochons, se coiffe d’une kippa et ferme les yeux sur la Palestine, on continuera à la traiter comme une pestiférée et à lui envoyer les Femen lui pourrir ses manifestations.

Le courage, dans cette situation, ne consiste pas à poignarder dans le dos un vieil homme dont on n’hésite pas, par ailleurs, à faire du patronyme son fonds de commerce, mais bien à tenir tête à un système qui corrompt systématiquement tous ceux qui baissent leur garde ou font des concessions sur leurs principes et leur honneur. Comment peut-elle en permanence reprocher à ses adversaires de la diaboliser sur la base de soi-disant « valeurs » polymorphes et jamais définies tout en éjectant son propre père au nom de « valeurs » tout aussi floues ?

Si le FN devient un parti comme les autres il n’est plus qu’un faux espoir, un miroir aux alouettes, qui canalise les mécontentements pour les empêcher encore un peu de s’épandre dans la rue, le temps nécessaire pour que notre société soit totalement détruite.

mardi 28 avril 2015

PMA : bien ou lesbien?

Source image : https://valeureuxpatriote.files.wordpress.com/2012/12/image0021.gif?w=580

Dans un monde surpeuplé tel que le notre, les unions unisexes ne sont pas forcément une mauvaise chose. Il en va différemment lorsque, contre toutes les règles de la nature, ces pâles copies, par essence dysfonctionnelles, de couples prétendent élever des enfants. Non pas que je considère, pour autant, que les couples normaux (je récuse le terme hétéro qui relève de la manipulation sémantique) aient nécessairement le capital intellectuel et moral nécessaire à mener cette tâche à bien. Mais, même si beaucoup de ces couples traditionnels se séparent par fatalité, détresse ou égoïsme, ce n’est pas un prétexte suffisant pour permettre, au nom d’un stupide « droit à l’enfant », la négation dès la conception, par principe ou idéologie, de ce droit fondamental, à la base de toute société humaine, d’avoir un père, une mère et des racines.

Pour autant, quand je vois la blogosphère qui s’outrage du fait qu’aux États-Unis, un couple de lesbiennes porte plainte parce qu’une erreur d’échantillon leur a fait mettre au monde un bébé noir au lieu du blanc commandé, je me dis que la mauvaise foi est également répartie des deux côtés de la barrière idéologique.

En effet, au cas particulier, le fait qu’il s’agisse d’un couple lesbien n’a aucune espèce d’importance. La même mésaventure aurait pu arriver à un couple classique et là, la critique aurait été probablement moins cinglante. Qu’on le veuille ou non, choisir la couleur de son enfant est un droit fondamental, sinon la condition sine qua non de la survivance des cultures. Je ne doute pas que quelque esprit progressiste concocte déjà une loi pour dénoncer et interdire une telle raciste ignominie, mais, pour l’instant ce droit, octroyé par une mère nature rétrograde et fasciste, existe et chacun l’exerce naturellement, plus ou moins consciemment, en choisissant son partenaire.

Il est clair, cependant, que les couples unisexes ne pouvant s’abriter derrière la nature, leur choix de couleur est forcément conscient et donc ouvert à la critique sur la base de ce même antiracisme qui a servi de socle à la mouvance LGBT.

Si on peut, certes, relever l’ironie de la chose, la problématique dans cette triste affaire tourne, avant tout, autour du principe même de la vente de sperme. Si ledit principe ne choque personne, c’est, dès lors, une logique commerciale qui s’applique.
Si le produit délivré, fût-il du liquide séminal, n’est pas celui commandé, lesbienne ou pas, on est tout à fait fondé à demander une compensation voire à poursuivre au pénal lorsque l’erreur est délibérée.

vendredi 17 avril 2015

Le plan de Valls


Intellectuel Valls, est très occupé. Après des élections durant lesquelles il a eu peur que notre Pays ne se fracasse sur le FN, il s’est angoissé auprès des médias portugais à l’idée que le même FN puisse, un jour, accéder au bouton nucléaire. Personnellement, j’aurais plutôt peur de voir trainer à côté dudit bouton sa main gauche parkinsonienne, mais bon, je ne suis pas Charlie.

A peine revenu, le voici qui présente son plan de lutte contre le racisme et l'antisémitisme comprenant « 40 mesures articulées autour de la justice, d'Internet et de l'éducation » (comprendre : répression, flicage et lavage des cerveaux dès l'enfance).

On comprend l’urgence. Ce n’est pas comme s’il y avait en France 5 millions de chômeurs, 9 millions de pauvres, une crise morale, politique, économique, une dette abyssale…
On attend toujours, d’ailleurs, son plan de lutte contre le chômage mais, à sa décharge, il est moins concerné par le problème, y compris par alliance, que par l’antisémitisme.

Par quel cheminement tordu de l’esprit, le massacre de blancs (principalement) par des islamistes issus de l’immigration africaine débouche-t-il sur un texte visant, pour l’essentiel, à lutter contre une définition à géométrie variable du racisme et de l’islamophobie ?

Un peu comme si, à la suite de la razzia sanglante d’un renard dans un poulailler, on interdisait la chasse à courre sous prétexte qu’elle est cruelle et qu’il ne faut pas stigmatiser les renards. Soit, mais qu’est-ce qu’on fait pour protéger les poules ?
On muselle celles qui, sur internet, ouvriraient trop leur caquet et sous-entendraient que le fermier qui leur pique les œufs et les fait rôtir à la broche ne vaut pas mieux que le renard ?

En quoi ces 40 plugs anaux supplémentaires que l’on cherche à nous introduire sans vaseline auraient-ils pu empêcher, s’ils avaient été en vigueur, la transformation d’un torchon satirique en boucherie-charcuterie artisanale ? Je veux bien que le problème soit sur Internet, mais dans ce cas, il faut cliquer où, pour mettre Coulibaly à la corbeille ? Y-aurait-il une appli anti-balle dispo pour IPhone et Android ?

Apparemment « stop jihadisme.gouv.fr » n’a pas réussi à résoudre le problème. On y a cru pourtant. Sûrement le plug-in flash qui a déconné. Les 100 millions d’euros supplémentaires (quand-même !) que vont coûter cette sombre plaisanterie seront vites dépensés : 50 sur Dieudonné, 50 sur Soral et 50 sur le FN. Je sais, ça fait 150, mais c’est comme ça que le gouvernement calcule, d’où nos 2000 milliards de dette. Dormez braves gens!

jeudi 16 avril 2015

Pour qui votait on? Madame.

source image :https://www.contrepoints.org/2015/03/22/201943-le-vote-obligatoire-est-une-tres-mauvaise-idee-en-plus-detre-insultant

On nous amuse pour la énième fois avec le vote obligatoire.

Ça ne résoudra rien, le fond du problème étant que l'idée même de démocratie est une escroquerie. A fortiori, la démocratie représentative qui consiste à voter pour des gens qu'on nous a présélectionnés et qui, une fois en place, n'ont pas d'obligation de résultat, ne sont pas révocables et n'ont plus aucun compte à nous rendre. En outre, on élit généralement ceux qui sont les plus doués ... pour se faire élire. Or, homme politique et politicien sont deux métiers différents, le meilleur parleur n'étant généralement pas le meilleur faiseur.

La démocratie, quelle que soit sa forme, repose sur le fantasme idéologique d’une égalité entre les individus lesquels sont censés disposer par décret du discernement nécessaire à décider de leur destinée (pourquoi pas ?) mais aussi de celle des autres ce qui est plus problématique. Si nos dirigeants étaient vraiment démocrates ils auraient tiré leur révérence et laissé les gens décider entre eux en proposant et votant les lois directement depuis leur PC ou leur portable. La chose pourrait marcher à condition que les votes ne soient pas anonymes et soient recoupables à tout moment afin d'éviter la fraude. Mais si l'informatique est plébiscitée pour payer l'impôt, personne n'envisage qu'elle pourrait remplacer très facilement les partis politiques, les élus et les cohortes de parasites qui vivent dans leur sillage comme autant de  mouches sur une m... euh, sur un pot de confiture.

Si l'on veut vraiment s'entêter dans cette voie, plutôt que d’envisager le vote obligatoire dans le but d'attirer vers les isoloirs une population immigrée qui vote peu et dont on espère que les bulletins n'iraient pas dans l'escarcelle du FN, on ferait peut-être mieux de réfléchir à un permis de voter basé sur des tests élémentaires de logique, de culture générale et des QCM relatifs à la compréhension de textes en français.

Donner le droit de vote à des cons objectifs (nous sommes tous des cons relatifs) aboutit à Hollande au pouvoir et, avant lui, à Sarkozy, lequel se prépare d'ailleurs activement à passer la seconde couche, grâce à ses thuriféraires qui, il faut bien le reconnaitre, en tiennent une bonne.
 
Mais, même confronté à des gens capables d’avoir un raisonnement honnête et de bon sens, le système démocratique s’effondre déjà de lui-même sous le poids des intérêts contradictoires. Imaginons une alliance démocratique entre la Chine et le Liechtenstein… On voit ce que pourraient donner les résultats des votes, surtout dans un système parlementaire dans lequel le pouvoir dépend du nombre de sièges à l’assemblée : « 1 milliard de voix pour, 0,01 voix contre. La résolution est adoptée! »

Il est dont clair, à minima, qu’une démocratie ne peut se concevoir qu’à l’échelle de groupes ayant une culture et des intérêts communs : la nation pour la France, les cantons pour la Suisse etc. En revanche, parler de démocratie à l’échelon européen est un non-sens, alors que la chose serait envisageable pour les États-Unis qu’on lui compare à tort.

La démocratie telle qu’on nous la vend est facteur de chaos, détruisant l’ordre naturel des différentes structures qu’elle infecte. Il y avait, pour prendre pour exemple la plus petite communauté possible, un ordre établi dans les familles avec le pater familias en haut de la chaine alimentaire. Elles sont à présent devenues « démocratiques », chacun ayant voix au chapitre, avec pour conséquence, leur explosion en vol : hommes émasculés, enfants rois capricieux, pleurnichards et inadaptés, familles monoparentales, femmes névrosées et solitaires… Tout ce beau monde cherchant à combler le gouffre de sa misère affective dans une addiction consumériste délétère et des réseaux sociaux artificiels…

C'est un peu comme la Libye :  c'était pas parfait avant la démocratie mais depuis on regrette un peu Mouammar quand même.

En fait, la démocratie est aussi totalitaire que les autres formes de gouvernement, l'hypocrisie en plus. Essayez de dire : « Je renonce à la médecine, à l’électricité, à la police, à l’eau courante et a la société; du coup je ne paie plus d'impôt et je revendique mon petit lopin de terre que j'ai payé et sur lequel je fais ce que je veux ». Si vous voulez être SDF, aucun problème, mais si vous réclamez le droit à la propriété individuelle inaliénable, sans lequel nous sommes des esclaves et la démocratie n'a aucun sens, vous verrez alors  la réaction de la « démocratie ».

mardi 14 avril 2015

Marion Maréchal, nous voilà....partis.


Depuis qu’elle est apparue en politique, j’ai toujours vu du potentiel dans Marion Maréchal. Une partie de ce potentiel résidant dans le fait qu’elle n’avait pas encore eu le temps d’être pervertie par les calculs politiciens et qu’issue d’une forme de népotisme, elle n’avait pas eu à passer par un système qui ne laisse généralement arriver au-dessus du panier que les crabes les plus pourris.

Cela en faisait un ovni politique et un espoir pour beaucoup.

Malheureusement, en refusant le ticket avec Bruno Gollnish suggéré par son grand-père pour les régionales, elle a achevé l’émasculation du FN. Elle a refusé cette flamme qui lui était donnée en héritage, croyant à tort que couper les ponts avec le passé facilitera l’ascension vers le pouvoir. Il n’est qu’à voir de quelle façon Benoit Hamon a balancé à Philippot au sujet de JMLP : « vous n’avez même pas la reconnaissance du ventre ! » pour comprendre que sa trahison et son reniement seront désormais autant reprochés au FN que ses soi-disant racines qui ne seront, de toutes façons, jamais oubliées.

Même ses pires détracteurs admettent le courage et la constance de JMLP avec un respect qu'ils parviennent difficilement à dissimuler. Quand les temps seront vraiment difficiles, les gens chercheront un rocher auquel se raccrocher pour faire face à la tempête ; un tronc aux racines profondes solidement ancrées dans le sol. En coupant lesdites racines, Marion Maréchal démontre qu’elle reste une gamine influençable ou mal conseillée et vient de saborder, sans le savoir, le destin d’exception qui était écrit pour elle en échange d’une carrière de femme politique ordinaire.

Désormais, même si je ne voterai pas pour l’UMPS, les jours d’élection j’irai à la pêche, comme une majorité de français. L’a-plat-ventrisme médiatique du FN lui permettra peut-être d’obtenir quelques voix UMP de plus en cas de report, mais je ne suis pas sûr que cela puisse compenser celles perdues auprès de tous ceux qui, comme moi, sont écœurés par autant de lâcheté et d’arrivisme et ne voient pas l’intérêt de porter au pouvoir des gens qui ont déjà juré allégeance au système.

vendredi 10 avril 2015

Ce qui se joue au FN


A l’aulne des évènements récents qui secouent le FN et loin des analyses superficielles dont on nous abreuve, il me semble utile d’aller au fond des choses et de prendre la mesure des véritables enjeux de ce qui est bien plus qu’une simple querelle de famille.

La vérité c’est que nous sommes scotchés dans les années 30, non pas par le massacre des juifs, mais par la religion de la SHOAH qui en est née. Une religion qu’on ne peut remettre en cause sous peine de blasphème. On reproche à JMLP de revenir sans arrêt à la 2ème guerre mondiale, alors qu’au contraire il ne fait que pointer du doigt cet enlisement qui nous empêche d’aller de l’avant. Ce n’est pas lui qui nous abreuve de documentaires, de films, d’émissions, de discours politiques, d’associations, de procès, de lois, de dîners du CRIF, de pleurnicheries journalistiques tous axés sur la SHOAH et le « devoir de mémoire ».

Cette religion de fait, imposée à tous, a détruit, tel le SIDA, notre système immunitaire. La phobie paranoïaque de l’antisémitisme a nourri un antiracisme hors sol et sans limite, a banni le nationalisme du champ de la réflexion politique. Nos globules blancs (forcément racistes) sont détruits laissant pénétrer par des membranes frontalières particulièrement poreuses des corps étrangers dont beaucoup sont mortifères. Contrairement à ce que l’on nous chante, sauf exceptions immédiatement montées en épingle, le continent Africain (car c’est principalement de lui qu’il s’agit) ne nous envoie pas ses élites, ni même ses forces vives avides de travailler et de construire, mais son surplus d’acculturés parasitaires qui se répandent comme autant de métastases pompant les quelques aides sociales que notre organisme malade est encore capable de produire.

Traiter les symptômes, sans traiter les causes de la maladie et renvoyer d’urgence les victimes de la SHOAH dans le même sac historique que les morts de la Saint-Barthélemy qui, eux, reposent en paix sans nous faire ch..., ne peut conduire qu’à un échec, les mêmes causes entraînant les mêmes effets.

La carotte du pouvoir agitée devant le nez de Marine Le Pen en échange de toujours plus de compromissions et d’allégeances à la nouvelle religion d’état, lui a fait perdre de vue l’essentiel. Et c’est cet essentiel que lui rappelle JMLP qui lui est un politique (peut-être le dernier) et non un politicien.

Ce n’est pas un hasard si le symbole du Front National est une flamme. Tant que cette flamme subsistera, il y aura un espoir. C’est cette même flamme qui a fait que lorsque tout semblait perdu, quelque part, toujours, quelqu’un s’est levé et, à l’instar de Jeanne d’Arc, a rallumé l’éclat de notre Pays. C’est cette flamme qui sera irrémédiablement détruite si un FN perverti arrive au pouvoir et, par pleutrerie ou compromission, échoue à redonner son âme à la France.

C’est cette même flamme que s’empresseront de gommer du logo ceux qui poussent au changement de nom, le remplaçant, comme pour celui de l’Élisée, par un graphisme en forme de Bozo le clown.

C’est parce que les premiers chrétiens sont morts, dignement, les bras en croix, agenouillés dans l’arène, dévorés vifs par des lions, que le christianisme a forcé l’admiration et s’est répandu comme il l’a fait.

Le fait pour les cadres du FN de subir stoïquement les crachats journalistiques à longueur d’interviews perd tout son impact et son sens si au bout du compte, à la moindre accusation d’antisémitisme, ils font pipi sur eux et se recroquevillent. Le but n’est pas de gagner les élections, mais de sauver la France. L’un n’empêche pas l’autre, à condition de ne pas se renier.

Qui pourrait être cet homme extra-ordinaire (au sens propre) capable de se lever et de porter haut cette flamme ? Certainement pas Marine Le Pen qui vient de démontrer qu’elle est on ne peut plus ordinaire et dont le manque de vision et de grandeur saute à présent aux yeux. Certainement pas un Philippot qui, comme tout bon énarque, ne voit dans les masses qu’une plèbe manipulable. Bruno Gollnish est quelqu'un d'absolument admirable, mais s’il ferait un excellent premier ministre, combinant courage politique, intelligence et intégrité, il lui manque ce charisme qui permet, même à ceux qui n’ont pas la culture suffisante pour reconnaître sa valeur, de la ressentir instinctivement.

La seule, à mon sens, de qui le destin factuellement extra-ordinaire (plus jeune députée de l’histoire de notre république), la maturité politique incroyable pour son âge (je me rappelle comment j’étais à 25 ans), les convictions solidement ancrées, la capacité de travail hors norme (que reconnaissent même ses adversaires à l’assemblée nationale), la beauté physique et le côté flamboyant pourraient faire un symbole et un espoir non pas seulement pour la France mais pour le monde entier, c’est Marion Maréchal.

Je pense que Jean-Marie Le Pen, en visionnaire qu’il est, l’a compris depuis longtemps et, comme il l'a toujours fait, il se battra jusqu'au bout.

mardi 10 février 2015

Espèce de Charlie !


Jusqu’à ce jour, la quintessence de la connerie humaine tenait, tout entière, dans un qualificatif aux consonances d’onomatopée : le bobo. Ce fameux « bourgeois bohème » que, contrairement au Français moyen dont tout le monde parle mais que l’on ne voit jamais, on croise, hélas, un peu trop souvent. À ne pas confondre avec le Bonobo qui ne pense pas plus tout en copulant davantage et qui a, au moins, l’excuse d’être un singe.

Le bobo, nourri au « touche pas à mon pote » commence à avoir quelques doutes quand le pote en question se balade avec une Kalashnikov en criant des « Allah Akbar » qui limitent un peu le côté sympa des échanges interculturels. Il ne sait pas pourquoi, mais «United Colors of Decapitation » lui plaît moins que les jolies affiches de Benetton lesquelles sont, par ailleurs, rééditées, chaque année, à l’occasion des photos de classe de ses enfants qui payent peu à peu son déclassement social progressif en ne parvenant plus à se garder d’une trop grande promiscuité dans des écoles privées hors de prix.

Mais le bobo ne peut pas voter FN car sa religion gaucho-droits-de-l’hommiste le lui interdit. Le FN c’est le diable, les bruits de bottes sur le pavé, la fin du monde suivie de la damnation éternelle. C’est un parti qui a plein de pédés pour faire croire qu’il n’est pas homophobe, plein de juifs pour faire croire qu’il n’est pas antisémite, des noirs et des musulmans pour faire croire qu’il n’est pas raciste, qui est gouverné par une femme pour faire croire qu’il n’est pas sexiste, qui veut réintroduire le référendum et la proportionnelle pour faire croire qu’il est démocrate et qui dit, comme Georges Marchais avant lui, que l’immigration ce n’est pas bien pour les travailleurs… Va de retro…

Alors, le bobo mue. Il suffit de prononcer le mot magique « padamalgam » et le voici Charlie, défilant la larme à l’œil derrière son président, une poignée de criminels de guerre et quelques ministres incompétents.
C’était l’arnaque du siècle, dans laquelle sont tombés 3 millions de gogos dont certains n’avaient même pas l’excuse d’être de gauche : s’identifier à un journal de merde qui a toujours insulté ceux qui ne pensaient pas comme lui et, au nom de la liberté d’expression, au lieu de les virer, marcher comme un seul homme derrière ceux qui sont responsables de l’immigration massive, du communautarisme et de l’explosion de l’insécurité.

Certains, dès le lendemain, ont eu une sensation bizarre en essayant de s’asseoir mais beaucoup, hélas, n’ont toujours rien compris.

Charlie -Charlot, la nuance est subtile et je prends le pari que le premier va, sous peu, détrôner « bobo » dans le top 10 des insultes visant à qualifier les zombies politiques et autres veaux qui, l’œil rivé sur l’épouvantail FN, broutent tranquillement leur foin sans la moindre conscience de l’abattoir qui les attend.

dimanche 8 février 2015

Quand le Doubs est dur


Pas de troisième député FN. La république est sauvée, la France, peut-être même le Monde.

Il est clair que les sympathisants UMP qui, non seulement ont permis au parti socialiste de retrouver sa majorité à l’assemblée, mais qui, en plus, se font railler par des vainqueurs clamant, sourire aux lèvres, que le conglomérat hétéroclite de Nicolas Sarkozy est le grand perdant de cette élection, doivent avoir un peu mal au cul.

Alors qu’élire un troisième député frontiste n’aurait eu que peu de conséquences, ils perdent les scories de crédibilité qu’il leur restait en renforçant, dans un réflexe pavlovien anti FN, ceux qui nous conduisent droit vers le gouffre tout en validant de façon magistrale le concept d’UMPS.
À ce rythme, avec son air con et sa vue basse, le vaillant redresseur de courbe du chômage, l’homme qui combat en scooter à trois roues, avec le succès que l’on connaît, son ennemi déclaré, la finance sans visage et sans nom, est bien parti pour un second mandat.

Ce qui m’attriste, ce n’est pas tant la défaite du FN que l’insondabilité de la bêtise d’une partie de mes cons citoyens lesquels lancés à trois cents à l’heure vers un précipice dans une voiture sans volant ont peur d’utiliser le FreiN.
Tous ces gens qui se croient Charlie mais qui sont Charlot, ceux qui entendent en permanence des bruits de botte qui n’existent pas, sans jamais voir venir ni les souliers vernis qui jouent au foot avec leur postérieur ni les godemichés géants en forme de sapin de Noël qu’on leur impose en suppositoire.

Ce serait certes défoulatoire de les traiter de crétins, mais du fait d’avoir dit qu’ils étaient UMP, on friserait le pléonasme, comme l’avait pressenti Guy Mollet en 1956 avec sa célèbre phrase « la droite la plus bête du monde ».

jeudi 15 janvier 2015

Père, pardonne-leur, car ils ne savent ce qu'ils font.


Je ne suis pas religieux, même pas croyant, mais j’ai une culture catholique et ce verset (Luc 23)  m’est instantanément venu à l’esprit quand j’ai appris la mise en garde à vue de Dieudonné. Certains m’objecteront qu’au contraire, les abjections sur pattes, sans âme et sans honneur, qui nous gouvernent, savent parfaitement ce qu’elles font ; je pense pour ma part que leur bêtise et leur étroitesse d’esprit (complètement décorrélées de ce Q.I. hypothétique censé, à tort, aller de pair avec la notion d’élite) sont bien réelles et ne doivent pas être sous-estimées.

Pour toute personne qui dispose non seulement de quelques neurones, mais aussi des synapses nécessaires à les relier entre eux, le commentaire de Dieudonné « je me sens Charlie Coulibaly » non seulement n’est pas une apologie du terrorisme, mais est une synthèse brillante au second, voire au troisième degré et au-delà, de toutes les interrogations posées à la fois par ces actes barbares, les réactions qu’ils ont suscitées,  la récupération qui en a été faite, l’aliénation du peuple par l’émotion et les contradictions d’une liberté d’expression à géométrie variable.

Ce condensé d’interrogations profondes et salutaires aurait sa place non pas dans un tribunal, mais comme sujet de philosophie au baccalauréat.

Il est quand même curieux que le résultat de 3 millions de personnes défilant pour la liberté d’expression soit la mise en prison d’un humoriste pour délit supposé d’iconoclasme.
Tandis que les actes : violences, vols, viols, meurtres, comptes en Suisse, fraudes fiscales, falsifications de comptes de campagne et autre abus de biens sociaux font l’objet de toutes les indulgences, la parole, elle, juste de l’air qui passe entre les lèvres, est sanctionnée, selon le propriétaire desdites lèvres, avec une implacabilité qui force l’admiration.

Comment, en ces temps d’homophilie galopante, peut-on encore trouver, y compris et surtout parmi les plus enthousiastes et ceux qui, au lieu de lutter contre le chômage, se pâment à la perspective de nouvelles réformes sociétales que personne n’a demandées, autant de culs serrés.

La liberté d’expression devrait être totale, la seule chose susceptible d’être condamnée étant la diffamation, point barre !
Pour ne vexer personne, je vais parler de Schtroumpfs.
Si je dis : « je n’aime pas les Schtroumpfs ! » c’est une opinion personnelle donc : liberté d’expression. Même si je dis : « Il faut tuer les Schtroumpfs ! » c’est toujours une opinion personnelle donc : liberté d’expression. Si je dis : « les Schtroumpfs sont bêtes ! » sauf à le prouver, ce qui, en raison de l’article défini, ne me semble pas réaliste, c’est diffamatoire donc : interdit.
De la même façon, quand Closer, preuves à l’appui, oute Philippot, ce n’est pas de la diffamation donc : autorisé.

Les paroles des uns pourront heurter les autres et vice versa, mais la liberté est à ce prix. Quant à ceux qui jugent que les paroles peuvent être des incitations à la haine, ce qui revient à dire que les gens sont des crétins incapables de faire la part des choses,  la logique voudrait, non pas que l’on sanctionne ou limite lesdites paroles, mais que, dans la mesure où l’on part du principe que les gens sont assez cons pour se laisser influencer, l'on s'interroge plutôt sur l’opportunité de leur laisser le droit de vote.

S’il est vrai, hélas, qu’il y a en France, répartis dans des partis politiques qui ont pour objet principal d’empêcher de réfléchir, suffisamment de cons de bonne volonté pour empêcher la remise en cause d’un système inique et mensonger, il y en a quand même moins que ce que pensent nos élites et nos énarques.

samedi 10 janvier 2015

Connerie Hebdo


Il est des jours où l’étendue de la connerie humaine donne envie de pleurer.

Charlie Hebdo était un journal de merde au bord de la faillite, subventionné par le système, et qui abritait une bande de nuisibles et de faux subversifs, à des années-lumière d’un Choron ou d’un Cavanna. Ces quasi fonctionnaires passaient leur temps à produire des dessins scatologiques et gratuitement outranciers à l’encontre de deux des religions du livre (si j’ai bonne mémoire il y en a pourtant trois) et de tout ce qui combat l’ordre établi, du FN à Dieudonné. De quoi donner un orgasme à Manuel Valls.

Des parasites pervers n’ont pas à devenir des saints juste parce qu’ils sont morts, même si l’on peut déplorer, humainement en tout cas, des actes d’une violence inacceptable qui sont pourtant le lot quotidien de beaucoup de pays dans le monde sans jamais émouvoir personne entre le fromage et le dessert.

Ces nouveaux martyrs étaient autant le symbole de la liberté d’expression qu’Angela Merkel est celui de la féminité et Hollande celui de l’intelligence. Je doute que si l’attentat s’était produit dans les locaux du journal « Minute » il se serait trouvé autant de thuriféraires pour manifester au nom d’une « liberté d’expression » qui n’est plus, dès lors, que la liberté de penser comme eux.

L’exclusion, de fait, du FN des rangs des moutons bêlants qui n’ont pas compris que manifester contre l’islamisme, sans lutter contre ses causes, a à peu près autant d’effets que manifester contre la pluie, ne fait que corroborer ce triste constat.

Qu’autant de gens, dans un réflexe pavlovien navrant, puisse répondre comme un seul homme à l’invitation d’un pseudo « ennemi de la finance » lequel ne recueille d’ordinaire le soutien que d’un pour cent de la population et défiler aux côtés de tout ce que la France et l’étranger compte comme traîtres et pourritures, pompiers pyromanes dont l’action délétère, depuis des décennies, est à l’origine de la situation tant dans l’Hexagone qu’hors de nos frontières, m’enlève mes dernières illusions sur la capacité de notre pays à pouvoir se redresser un jour.

Charlie hebdo était de la même texture que ces excréments dont il barbouillait allègrement, au sens propre, dans ses dessins, tous ceux avec lesquels il n’était pas d’accord. Je laisse ceux qui arborent, parfois naïvement, « je suis Charlie » sur quelque partie que ce soit de leur anatomie ou de leurs vêtements, décoder tout seuls la signification profonde et odorante de cette affirmation et se demander pourquoi, de tous les slogans qu’on aurait pu trouver pour canaliser une indignation légitime on leur a choisi et imposé celui-là.

Je ne suis pas Charlie.