Ce blog est parfois au second degré, merci de ne pas tout prendre littéralement et d'en tenir compte si vous devez laisser des commentaires.

mardi 28 avril 2015

PMA : bien ou lesbien?

Source image : https://valeureuxpatriote.files.wordpress.com/2012/12/image0021.gif?w=580

Dans un monde surpeuplé tel que le notre, les unions unisexes ne sont pas forcément une mauvaise chose. Il en va différemment lorsque, contre toutes les règles de la nature, ces pâles copies, par essence dysfonctionnelles, de couples prétendent élever des enfants. Non pas que je considère, pour autant, que les couples normaux (je récuse le terme hétéro qui relève de la manipulation sémantique) aient nécessairement le capital intellectuel et moral nécessaire à mener cette tâche à bien. Mais, même si beaucoup de ces couples traditionnels se séparent par fatalité, détresse ou égoïsme, ce n’est pas un prétexte suffisant pour permettre, au nom d’un stupide « droit à l’enfant », la négation dès la conception, par principe ou idéologie, de ce droit fondamental, à la base de toute société humaine, d’avoir un père, une mère et des racines.

Pour autant, quand je vois la blogosphère qui s’outrage du fait qu’aux États-Unis, un couple de lesbiennes porte plainte parce qu’une erreur d’échantillon leur a fait mettre au monde un bébé noir au lieu du blanc commandé, je me dis que la mauvaise foi est également répartie des deux côtés de la barrière idéologique.

En effet, au cas particulier, le fait qu’il s’agisse d’un couple lesbien n’a aucune espèce d’importance. La même mésaventure aurait pu arriver à un couple classique et là, la critique aurait été probablement moins cinglante. Qu’on le veuille ou non, choisir la couleur de son enfant est un droit fondamental, sinon la condition sine qua non de la survivance des cultures. Je ne doute pas que quelque esprit progressiste concocte déjà une loi pour dénoncer et interdire une telle raciste ignominie, mais, pour l’instant ce droit, octroyé par une mère nature rétrograde et fasciste, existe et chacun l’exerce naturellement, plus ou moins consciemment, en choisissant son partenaire.

Il est clair, cependant, que les couples unisexes ne pouvant s’abriter derrière la nature, leur choix de couleur est forcément conscient et donc ouvert à la critique sur la base de ce même antiracisme qui a servi de socle à la mouvance LGBT.

Si on peut, certes, relever l’ironie de la chose, la problématique dans cette triste affaire tourne, avant tout, autour du principe même de la vente de sperme. Si ledit principe ne choque personne, c’est, dès lors, une logique commerciale qui s’applique.
Si le produit délivré, fût-il du liquide séminal, n’est pas celui commandé, lesbienne ou pas, on est tout à fait fondé à demander une compensation voire à poursuivre au pénal lorsque l’erreur est délibérée.

vendredi 17 avril 2015

Le plan de Valls


Intellectuel Valls, est très occupé. Après des élections durant lesquelles il a eu peur que notre Pays ne se fracasse sur le FN, il s’est angoissé auprès des médias portugais à l’idée que le même FN puisse, un jour, accéder au bouton nucléaire. Personnellement, j’aurais plutôt peur de voir trainer à côté dudit bouton sa main gauche parkinsonienne, mais bon, je ne suis pas Charlie.

A peine revenu, le voici qui présente son plan de lutte contre le racisme et l'antisémitisme comprenant « 40 mesures articulées autour de la justice, d'Internet et de l'éducation » (comprendre : répression, flicage et lavage des cerveaux dès l'enfance).

On comprend l’urgence. Ce n’est pas comme s’il y avait en France 5 millions de chômeurs, 9 millions de pauvres, une crise morale, politique, économique, une dette abyssale…
On attend toujours, d’ailleurs, son plan de lutte contre le chômage mais, à sa décharge, il est moins concerné par le problème, y compris par alliance, que par l’antisémitisme.

Par quel cheminement tordu de l’esprit, le massacre de blancs (principalement) par des islamistes issus de l’immigration africaine débouche-t-il sur un texte visant, pour l’essentiel, à lutter contre une définition à géométrie variable du racisme et de l’islamophobie ?

Un peu comme si, à la suite de la razzia sanglante d’un renard dans un poulailler, on interdisait la chasse à courre sous prétexte qu’elle est cruelle et qu’il ne faut pas stigmatiser les renards. Soit, mais qu’est-ce qu’on fait pour protéger les poules ?
On muselle celles qui, sur internet, ouvriraient trop leur caquet et sous-entendraient que le fermier qui leur pique les œufs et les fait rôtir à la broche ne vaut pas mieux que le renard ?

En quoi ces 40 plugs anaux supplémentaires que l’on cherche à nous introduire sans vaseline auraient-ils pu empêcher, s’ils avaient été en vigueur, la transformation d’un torchon satirique en boucherie-charcuterie artisanale ? Je veux bien que le problème soit sur Internet, mais dans ce cas, il faut cliquer où, pour mettre Coulibaly à la corbeille ? Y-aurait-il une appli anti-balle dispo pour IPhone et Android ?

Apparemment « stop jihadisme.gouv.fr » n’a pas réussi à résoudre le problème. On y a cru pourtant. Sûrement le plug-in flash qui a déconné. Les 100 millions d’euros supplémentaires (quand-même !) que vont coûter cette sombre plaisanterie seront vites dépensés : 50 sur Dieudonné, 50 sur Soral et 50 sur le FN. Je sais, ça fait 150, mais c’est comme ça que le gouvernement calcule, d’où nos 2000 milliards de dette. Dormez braves gens!

jeudi 16 avril 2015

Pour qui votait on? Madame.

source image :https://www.contrepoints.org/2015/03/22/201943-le-vote-obligatoire-est-une-tres-mauvaise-idee-en-plus-detre-insultant

On nous amuse pour la énième fois avec le vote obligatoire.

Ça ne résoudra rien, le fond du problème étant que l'idée même de démocratie est une escroquerie. A fortiori, la démocratie représentative qui consiste à voter pour des gens qu'on nous a présélectionnés et qui, une fois en place, n'ont pas d'obligation de résultat, ne sont pas révocables et n'ont plus aucun compte à nous rendre. En outre, on élit généralement ceux qui sont les plus doués ... pour se faire élire. Or, homme politique et politicien sont deux métiers différents, le meilleur parleur n'étant généralement pas le meilleur faiseur.

La démocratie, quelle que soit sa forme, repose sur le fantasme idéologique d’une égalité entre les individus lesquels sont censés disposer par décret du discernement nécessaire à décider de leur destinée (pourquoi pas ?) mais aussi de celle des autres ce qui est plus problématique. Si nos dirigeants étaient vraiment démocrates ils auraient tiré leur révérence et laissé les gens décider entre eux en proposant et votant les lois directement depuis leur PC ou leur portable. La chose pourrait marcher à condition que les votes ne soient pas anonymes et soient recoupables à tout moment afin d'éviter la fraude. Mais si l'informatique est plébiscitée pour payer l'impôt, personne n'envisage qu'elle pourrait remplacer très facilement les partis politiques, les élus et les cohortes de parasites qui vivent dans leur sillage comme autant de  mouches sur une m... euh, sur un pot de confiture.

Si l'on veut vraiment s'entêter dans cette voie, plutôt que d’envisager le vote obligatoire dans le but d'attirer vers les isoloirs une population immigrée qui vote peu et dont on espère que les bulletins n'iraient pas dans l'escarcelle du FN, on ferait peut-être mieux de réfléchir à un permis de voter basé sur des tests élémentaires de logique, de culture générale et des QCM relatifs à la compréhension de textes en français.

Donner le droit de vote à des cons objectifs (nous sommes tous des cons relatifs) aboutit à Hollande au pouvoir et, avant lui, à Sarkozy, lequel se prépare d'ailleurs activement à passer la seconde couche, grâce à ses thuriféraires qui, il faut bien le reconnaitre, en tiennent une bonne.
 
Mais, même confronté à des gens capables d’avoir un raisonnement honnête et de bon sens, le système démocratique s’effondre déjà de lui-même sous le poids des intérêts contradictoires. Imaginons une alliance démocratique entre la Chine et le Liechtenstein… On voit ce que pourraient donner les résultats des votes, surtout dans un système parlementaire dans lequel le pouvoir dépend du nombre de sièges à l’assemblée : « 1 milliard de voix pour, 0,01 voix contre. La résolution est adoptée! »

Il est dont clair, à minima, qu’une démocratie ne peut se concevoir qu’à l’échelle de groupes ayant une culture et des intérêts communs : la nation pour la France, les cantons pour la Suisse etc. En revanche, parler de démocratie à l’échelon européen est un non-sens, alors que la chose serait envisageable pour les États-Unis qu’on lui compare à tort.

La démocratie telle qu’on nous la vend est facteur de chaos, détruisant l’ordre naturel des différentes structures qu’elle infecte. Il y avait, pour prendre pour exemple la plus petite communauté possible, un ordre établi dans les familles avec le pater familias en haut de la chaine alimentaire. Elles sont à présent devenues « démocratiques », chacun ayant voix au chapitre, avec pour conséquence, leur explosion en vol : hommes émasculés, enfants rois capricieux, pleurnichards et inadaptés, familles monoparentales, femmes névrosées et solitaires… Tout ce beau monde cherchant à combler le gouffre de sa misère affective dans une addiction consumériste délétère et des réseaux sociaux artificiels…

C'est un peu comme la Libye :  c'était pas parfait avant la démocratie mais depuis on regrette un peu Mouammar quand même.

En fait, la démocratie est aussi totalitaire que les autres formes de gouvernement, l'hypocrisie en plus. Essayez de dire : « Je renonce à la médecine, à l’électricité, à la police, à l’eau courante et a la société; du coup je ne paie plus d'impôt et je revendique mon petit lopin de terre que j'ai payé et sur lequel je fais ce que je veux ». Si vous voulez être SDF, aucun problème, mais si vous réclamez le droit à la propriété individuelle inaliénable, sans lequel nous sommes des esclaves et la démocratie n'a aucun sens, vous verrez alors  la réaction de la « démocratie ».

mardi 14 avril 2015

Marion Maréchal, nous voilà....partis.


Depuis qu’elle est apparue en politique, j’ai toujours vu du potentiel dans Marion Maréchal. Une partie de ce potentiel résidant dans le fait qu’elle n’avait pas encore eu le temps d’être pervertie par les calculs politiciens et qu’issue d’une forme de népotisme, elle n’avait pas eu à passer par un système qui ne laisse généralement arriver au-dessus du panier que les crabes les plus pourris.

Cela en faisait un ovni politique et un espoir pour beaucoup.

Malheureusement, en refusant le ticket avec Bruno Gollnish suggéré par son grand-père pour les régionales, elle a achevé l’émasculation du FN. Elle a refusé cette flamme qui lui était donnée en héritage, croyant à tort que couper les ponts avec le passé facilitera l’ascension vers le pouvoir. Il n’est qu’à voir de quelle façon Benoit Hamon a balancé à Philippot au sujet de JMLP : « vous n’avez même pas la reconnaissance du ventre ! » pour comprendre que sa trahison et son reniement seront désormais autant reprochés au FN que ses soi-disant racines qui ne seront, de toutes façons, jamais oubliées.

Même ses pires détracteurs admettent le courage et la constance de JMLP avec un respect qu'ils parviennent difficilement à dissimuler. Quand les temps seront vraiment difficiles, les gens chercheront un rocher auquel se raccrocher pour faire face à la tempête ; un tronc aux racines profondes solidement ancrées dans le sol. En coupant lesdites racines, Marion Maréchal démontre qu’elle reste une gamine influençable ou mal conseillée et vient de saborder, sans le savoir, le destin d’exception qui était écrit pour elle en échange d’une carrière de femme politique ordinaire.

Désormais, même si je ne voterai pas pour l’UMPS, les jours d’élection j’irai à la pêche, comme une majorité de français. L’a-plat-ventrisme médiatique du FN lui permettra peut-être d’obtenir quelques voix UMP de plus en cas de report, mais je ne suis pas sûr que cela puisse compenser celles perdues auprès de tous ceux qui, comme moi, sont écœurés par autant de lâcheté et d’arrivisme et ne voient pas l’intérêt de porter au pouvoir des gens qui ont déjà juré allégeance au système.

vendredi 10 avril 2015

Ce qui se joue au FN


A l’aulne des évènements récents qui secouent le FN et loin des analyses superficielles dont on nous abreuve, il me semble utile d’aller au fond des choses et de prendre la mesure des véritables enjeux de ce qui est bien plus qu’une simple querelle de famille.

La vérité c’est que nous sommes scotchés dans les années 30, non pas par le massacre des juifs, mais par la religion de la SHOAH qui en est née. Une religion qu’on ne peut remettre en cause sous peine de blasphème. On reproche à JMLP de revenir sans arrêt à la 2ème guerre mondiale, alors qu’au contraire il ne fait que pointer du doigt cet enlisement qui nous empêche d’aller de l’avant. Ce n’est pas lui qui nous abreuve de documentaires, de films, d’émissions, de discours politiques, d’associations, de procès, de lois, de dîners du CRIF, de pleurnicheries journalistiques tous axés sur la SHOAH et le « devoir de mémoire ».

Cette religion de fait, imposée à tous, a détruit, tel le SIDA, notre système immunitaire. La phobie paranoïaque de l’antisémitisme a nourri un antiracisme hors sol et sans limite, a banni le nationalisme du champ de la réflexion politique. Nos globules blancs (forcément racistes) sont détruits laissant pénétrer par des membranes frontalières particulièrement poreuses des corps étrangers dont beaucoup sont mortifères. Contrairement à ce que l’on nous chante, sauf exceptions immédiatement montées en épingle, le continent Africain (car c’est principalement de lui qu’il s’agit) ne nous envoie pas ses élites, ni même ses forces vives avides de travailler et de construire, mais son surplus d’acculturés parasitaires qui se répandent comme autant de métastases pompant les quelques aides sociales que notre organisme malade est encore capable de produire.

Traiter les symptômes, sans traiter les causes de la maladie et renvoyer d’urgence les victimes de la SHOAH dans le même sac historique que les morts de la Saint-Barthélemy qui, eux, reposent en paix sans nous faire ch..., ne peut conduire qu’à un échec, les mêmes causes entraînant les mêmes effets.

La carotte du pouvoir agitée devant le nez de Marine Le Pen en échange de toujours plus de compromissions et d’allégeances à la nouvelle religion d’état, lui a fait perdre de vue l’essentiel. Et c’est cet essentiel que lui rappelle JMLP qui lui est un politique (peut-être le dernier) et non un politicien.

Ce n’est pas un hasard si le symbole du Front National est une flamme. Tant que cette flamme subsistera, il y aura un espoir. C’est cette même flamme qui a fait que lorsque tout semblait perdu, quelque part, toujours, quelqu’un s’est levé et, à l’instar de Jeanne d’Arc, a rallumé l’éclat de notre Pays. C’est cette flamme qui sera irrémédiablement détruite si un FN perverti arrive au pouvoir et, par pleutrerie ou compromission, échoue à redonner son âme à la France.

C’est cette même flamme que s’empresseront de gommer du logo ceux qui poussent au changement de nom, le remplaçant, comme pour celui de l’Élisée, par un graphisme en forme de Bozo le clown.

C’est parce que les premiers chrétiens sont morts, dignement, les bras en croix, agenouillés dans l’arène, dévorés vifs par des lions, que le christianisme a forcé l’admiration et s’est répandu comme il l’a fait.

Le fait pour les cadres du FN de subir stoïquement les crachats journalistiques à longueur d’interviews perd tout son impact et son sens si au bout du compte, à la moindre accusation d’antisémitisme, ils font pipi sur eux et se recroquevillent. Le but n’est pas de gagner les élections, mais de sauver la France. L’un n’empêche pas l’autre, à condition de ne pas se renier.

Qui pourrait être cet homme extra-ordinaire (au sens propre) capable de se lever et de porter haut cette flamme ? Certainement pas Marine Le Pen qui vient de démontrer qu’elle est on ne peut plus ordinaire et dont le manque de vision et de grandeur saute à présent aux yeux. Certainement pas un Philippot qui, comme tout bon énarque, ne voit dans les masses qu’une plèbe manipulable. Bruno Gollnish est quelqu'un d'absolument admirable, mais s’il ferait un excellent premier ministre, combinant courage politique, intelligence et intégrité, il lui manque ce charisme qui permet, même à ceux qui n’ont pas la culture suffisante pour reconnaître sa valeur, de la ressentir instinctivement.

La seule, à mon sens, de qui le destin factuellement extra-ordinaire (plus jeune députée de l’histoire de notre république), la maturité politique incroyable pour son âge (je me rappelle comment j’étais à 25 ans), les convictions solidement ancrées, la capacité de travail hors norme (que reconnaissent même ses adversaires à l’assemblée nationale), la beauté physique et le côté flamboyant pourraient faire un symbole et un espoir non pas seulement pour la France mais pour le monde entier, c’est Marion Maréchal.

Je pense que Jean-Marie Le Pen, en visionnaire qu’il est, l’a compris depuis longtemps et, comme il l'a toujours fait, il se battra jusqu'au bout.