Ce blog est parfois au second degré, merci de ne pas tout prendre littéralement et d'en tenir compte si vous devez laisser des commentaires.

samedi 27 juin 2015

Islam : les gremlins sont parmi nous.


Il faut arrêter de se voiler la face. Eux au propre et nous au figuré. L’Islam n’est pas compatible avec notre civilisation et son expansion dans un pays ne peut avoir pour conséquences que la charia qu’il porte dans ses gènes ou un régime dictatorial capable de le contenir. Si quelqu’un connaît un exemple qui fonctionne de cet oxymore que serait un Islam démocratique, je suis tout ouïe.

Les musulmans, c’est comme les Gremlins : les gentils c’est juste des méchants qui n’ont pas encore été nourris après minuit (et en période de Ramadan ça devient rare). Le gentil musulman c’est juste un musulman qui ne se sent pas encore en nombre suffisant pour nous imposer son mode de vie et qui applique les préceptes (la taqiyya) de sa religion qui lui demande, tant qu’il est en état d’infériorité, d’être aimable en façade et de feindre sa soumission aux lois des infidèles tout en leur conservant son animosité.

Le "Padamalgam" suinte des bouches de ces traîtres suicidaires prétendument de gôooche ou "républicains" à la moindre petite décapitation, fauchage de piétons et autres poignardages.  On nous parle de loup solitaire. Le djihadisme donne l’impression de s’attraper comme une mauvaise grippe, comme un virus informatique devenant soudainement transmissible au Charlie crétinisé.

Tout pour nous faire oublier le lien entre le Mogwai et le Gremlin. Pour masquer l’évidence qu’ils sont les deux faces de la même pièce. Les attentats ne sont pas djihadistes, ils sont musulmans. Rien de ce que font ces fanatiques n'est proscrit par l'Islam, tout y est prescrit, l'Islam de la Mecque servant d'écran de fumée à celui de Médine.

A cause de nos politiques qui confondent la France et la République et des associations comme SOS racisme pilotées en sous-main par d’autres fanatiques religieux d’une autre nature, être Français ne veut plus rien dire.

Pour que cela ait à nouveau un sens, la logique voudrait de :
  1. Supprimer toutes les lois qui poussent au suicide collectif en muselant l’expression (Gayssot, Pleven…) et dissoudre toutes les associations communautaires.
  2. Arrêter l’immigration et toute assistance aux immigrés.
  3. Supprimer le droit du sol
  4. Expulser TOUS les doubles nationaux
  5. Interdire l’ISLAM et déchoir de la nationalité tout Français (même "de souche") converti.
  6. Revoir rétroactivement toutes les naturalisations depuis 30 ans en fonction de critères précis

Malheureusement aucun politique, FN compris, n’osera aller jusque-là au nom d’un sentiment humain universel qui n’est pourtant qu’une autre face du capitalisme sauvage et de la mondialisation sans limite. Il faut arrêter de traiter comme des êtres humains ceux qui nous traitent comme de la viande ou des vaches à lait. Sinon on va crever et 1500 ans de civilisation avec nous.

Lorsqu’on se laisse éradiquer dans le seul but de respecter scrupuleusement et unilatéralement un "aimez-vous les uns les autres" mal compris et manipulé censé nous gagner le paradis, on ne vaut pas mieux, au final, que les fanatiques d’un des camps d’en face (il y en a plusieurs) qui meurent et nous tuent en gueulant "Allah akbar".

jeudi 18 juin 2015

Afrique un continent incontinent (de sa population)

source image : http://lewebpedagogique.com/lapasserelle/files/2014/11/Burki240211.jpg
Selon Wikipédia, l'Afrique, un continent qui comptait 230 millions d'habitants en 1950 et qui a dépassé le cap du milliard d'habitants en 2010, pourrait atteindre 2 milliards en 2050 et 4 milliards en 2100. Ces chiffres n’incluent bien évidemment pas les africains installés ailleurs dans le monde et qui, pour la plupart, continuent à vivre et se reproduire entre eux.

Cette explosion démographique est due, notamment, au fait qu’au lieu de leur laisser leur forte mortalité infantile, laquelle était compensée par un taux de natalité élevé qui maintenait naturellement les populations à un niveau quasi constant, nous sommes venus avec nos bons sentiments à la c… leur apporter, entre autres calamités, notre médecine moderne provoquant surpopulation, guerres, famines…  semant, de fait, le malheur et la mort chez un nombre d’enfants bien plus grand, en valeur absolue, que dans la situation antérieure.

Désormais ces « migrants » tels que la presse a décidé de les qualifier, comme s’il s’agissait d’une nuée d’oiseaux ou plutôt de sauterelles, menace de déferler sur une Europe dont la population a déjà été remplacée dans des proportions inquiétantes. Et, encore une fois, pétris de bons sentiments, au nom de cette humanité qui, pourtant, n’a jamais rien fait d’autre que de s’entretuer depuis qu’elle s’est installée en haut de la chaine alimentaire, on nous somme de leur venir en aide et d’en accueillir toujours davantage.

« Ce sont des êtres humains », nous dit-on. Et alors ? Des êtres humains, il en meurt tous les jours. D’ailleurs, tant qu’ils meurent chez eux tout le monde s’en fout, mais les hypocrites (lesquels, pour autant, ne sont pas disposés à en accueillir chez eux, préférant que la société supporte le coût de leurs bons sentiments) se sentent mal à l’aise quand la chose se passe sous leurs yeux.

Les mêmes qui nous font bouffer leur laïcité à longueur de journée n’hésitent pas à tirer sur la corde de cette charité chrétienne mal comprise qui nous pousse au suicide collectif. La planète est surpeuplée, et des milliards d’individus vont en crever ; on ne peut rien y faire car la nature reprend toujours ses droits. La seule chose que nous pouvons faire c’est décider qui doit survivre et, dans cette optique, « eux ET nous » n’est pas une option ; c’est « eux OU nous ». Un peuple de vieux, lobotomisé au « droits-de-l’hommisme » qui croit que combattre c’est mettre un bulletin FN dans une urne ou défiler derrière une banderole CGT, contre une marée humaine jeune dont les cultures poussent plus aux décapitations islamiques et au maniement de la machette qu’à tendre l’autre joue. On ne part pas forcément favoris.

Notre seule chance de survie c’est de contrôler nos frontières et d’être aussi impitoyables qu’eux. Il faut comprendre qu’aimer son prochain n’implique pas d’aimer son lointain et il faut surtout cesser de les regarder, un par un, comme des individus. Il faut prendre conscience de la menace collective qu’ils représentent et la traiter comme une infestation, ce que ne feront jamais nos politiques, le nouvel FN bien lisse inclus. Ils savent que la fin du « padamalgam » ou le tarissement du robinet des prestations sociales signifieraient un bain de sang. Mais les pressions démographiques sont telles que ce bain de sang aura lieu tôt ou tard, d’autant plus violent qu’on aura nié longtemps le problème. Dès lors, ne vaudrait-il pas mieux que cela arrive le plus tôt possible, tant que nous avons encore une petite chance de gagner?

Mais tout cela sera vain si nous ne parvenons pas à nous débarrasser de cette chimère de la croissance et du venin de l'ultra capitalisme mondialisé qui poussent à l'obsession  démographique et empêchent d'admettre l'évidence qu'on vivrait très bien dans une France de 30 ou 40 millions d'individus.