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samedi 5 septembre 2015

Migrants ou envahisseurs ?


La seule différence c’est que les uns ont des fusils, les autres pas, mais au bout du compte le résultat est le même. Avis aux cons qui les accueillent avec des couvertures. Le glissement sémantique orchestré : "clandestins > sans papiers > migrants > réfugiés" pour désigner la même chose prouve, s’il en était encore besoin, à quel point les médias sont pourris et travaillent à notre destruction en tant que peuple. Le sentiment d’appartenance audit peuple pouvant générer des solidarités et des résistances incompatibles avec le mondialisme et ses délires "droit-de-l’hommistes" et universalistes qui sont l’arbre qui cache la forêt d’un capitalisme féroce et sans éthique qui se fout de tuer des millions d’enfants partout dans le monde au nom de la liberté pourvu que ça rapporte.

A cet égard, la photo du gamin échoué sur la plage afin de nous forcer, par l’émotion et la culpabilité, à accepter encore plus d’envahisseurs est particulièrement dégueulasse et pue la manipulation médiatique :
  • Il n’y a personne autour du macchabée (mise en scène ?).
  • Quand quelqu’un se noie en mer, il coule et ne remonte à la surface qu’au bout de plusieurs jours passablement boursoufflé, étape qu’a sautée apparemment le malheureux gamin.
  • Ce dernier a été enterré dans son pays d’origine, pourtant quitté à cause des persécutions. Un peu comme si les juifs étaient retournés en Allemagne nazie en 1940 pour enterrer leurs morts. Il s’agit là d’une forme de persécution particulièrement tolérante.
  • Dans la seconde on connaissait son pédigrée complet.
  • Je pourrais continuer longtemps, mais le seul fait de savoir BHL à la manœuvre suffit à comprendre empiriquement (Kosovo, Libye, Syrie, Ukraine…) qu’on est en train de se faire entuber. Sans compter qu’on ne l’a pas trop entendu sur les photos du même acabit d’enfants palestiniens transformés en Rubik’s cubes sur les plages de Gaza.
Les Hongrois, si critiqués par Catherine Deneuve, laquelle n’a pas pour autant proposé de mettre à la disposition des gentils migrants-envahisseurs quelques-uns de ses biens immobiliers, les Hongrois, donc, ont raison. Leur seule erreur a été de ne pas aller jusqu’au bout de la logique et d’électrifier la clôture.

J’entends déjà bêler les moutons prêts au suicide collectif au nom de la solidarité humaine à sens unique : "mais il y aurait des morts !!!" Et alors ? Il faudrait même les accueillir avec des mitraillettes. Avant de dire que c’est inhumain, il suffit de penser qu’en tuer quelques centaines leur ferait comprendre qu’entre risquer de mourir chez eux (pour ceux, pas la majorité, qui sont vraiment en danger) et être sûrs de mourir chez nous, il vaut mieux rester chez eux. Le problème serait réglé en une semaine et, compte tenu de toutes ces morts évitées dans les naufrages et autres camions, au final on aurait sauvé des vies. Et oui, c’est la charité chrétienne qui tue, là où un raisonnement froid mais cohérent épargnerait des vies et des souffrances.

C’est un peu comme dans un avion. Quand les masques à oxygène tombent, il faut suivre les consignes et mettre d’abord le sien avant de s’occuper de l’enfant qui est à côté, car sinon, si on perd connaissance pendant l’opération, on meurt tous les deux alors que, dans le premier cas, on peut sauver l’enfant. Je n’ai rien contre aider les migrants, mais il faut d’abord se mettre en sécurité, c’est-à-dire s’occuper de nous, sinon on va tous crever. C’est du bon sens élémentaire.

Mais bon, grâce à la télé, la culpabilisation permanente sur les colonies et la Shoah et notre "éducation nationale" qui aurait mieux fait de rester "instruction publique" nous voilà éduqués à renier Descartes et à n’être plus que des roseaux ressentants à défaut de pensants.

Même le FN se ramollit en cédant au système au moment où les évènements lui donnent raison et en sacrifiant la liberté d’opinion d’un Jean-Marie Le Pen sur l’autel de la bien-pensance judéo LGBT maçonnique, arme de prédilection de l’oligarchie mondialiste pour détruire les nations par leurs racines. On nous oblige désormais à choisir un camp, même si on n’en a rien à f…. On est soit sioniste ("l’avant-garde de la République" selon Manuel Valls), soit antisémite puisque toujours selon Manuel Valls, "l’antisionisme est la nouvelle forme de l’antisémitisme" ; soit "pro LGBT", soit homophobe ; soit heureux d’accueillir des millions d’envahisseurs, soit raciste ou xénophobe…

Pendant ce temps, le président saute des actrices, le premier ministre assiste à des matchs de foot en famille aux frais de la princesse, le chômage augmente, l’insécurité explose, la liberté d’expression n’existe quasiment plus et les PAYSans, comme le PAYS tout court, dont ils sont l’émanation et le symbole, crèvent la gueule ouverte laissant, pour le futur, le "champ" libre au merdes transgéniques américaines qui vont venir, à crédit, remplir nos assiettes grâce aux accords de libre échange qui sont passés dans notre dos. 

Alors franchement, un enfant sur une plage…